• Pour finir pour aujourd'hui, voici l'article sur Dead Rising.

    Dead Rising

    Développeur: Capcom

    Editeur: Capcom

    Support: Xbox 360

    Date de sortie euro: 7 septembre 2006

    Genre: Action, Beat'em all

    Dead Rising

    Ah Dead Rising, espoir numéro un de la Xbox One avec son troisième épisode, que de souvenirs sanglants sur ce jeu. C'est sans doute possible le meilleur défouloir actuel sur Xbox 360, un vrai régal qu'on ne cesse de faire encore et encore. Le jeu vous place en fait dans la peau de Frank West, photographe free-lance qui décide d'aller à Willamette, ville placée mystérieusement sous quarantaine. Arrivé en hélico, Frank constate que la ville est détruite, pleine de cadavres et que les rares survivants se font dévorer par des zombies. Notre journaliste se pose sur le toit du centre commercial de la ville et rencontre alors Carlito, homme étrange et agressif qui semble bien savoir ce qu'il se passe. Rapidement Frank va faire la connaissance de Brad, homme de loi devenu chef des survivants et de la fine équipe de glandu. Barricadé dans le centre, les survivants font face aux portes assiégés par des milliers de zombies affamés, mais voilà que sans surprise, la barrière va céder suite à un événement et les morts-vivants vont entrer dans le repaire de nos amis. Frank va évidemment échapper au carnage et avec l'aide de Brad et Jenny, va devoir découvrir la cause de cette contamination et sauver un maximum de survivants cachés. Notre bon ami à tête de nounours va donc parcourir de long en large le centre commercial, visitant toutes les boutiques et faisant n'importe quoi, tout en sauvant des gens, en affrontant des zombies mais également des psychopathes n'ayant pas résistés à la folie.

    Le jeu propose donc un scénario classique d'horreur mais très bien mis en scène, agrémenté d'humour et d'une grande liberté d'action qui au final vaut vraiment le coup. Après en effet les survivants comme les personnages principaux ne servent pas à grand chose et les révélations scénaristiques sont minables mais l'univers, le fait de pouvoir faire n'importe quoi(on peut vraiment presque tout faire) et les psychos hyper charismatiques apportent un charme énorme à Dead Rising. Pas particulièrement beau, le jeu est doté d'un gameplay rigide à la Capcom, rendant les combats contre les fous assez difficiles mais en s'y accrochant on prend vite goût au dégommage de zombies, de psychos et au sauvetage de ces abrutis de civils, tous plus bêtes les uns que les autres. Pour rendre la partie encore plus intéressante le jeu fonctionne selon un système d'horaires, vous ne pourrez pas faire n'importe quelle quête n'importe quand, idem pour les combats et ce processus va rendre chaque partie très corsée, atteindre les 100% sera d'une difficulté hallucinante. Mais dans Dead Rising ça n'a pas vraiment d'importance, le jeu n'a pour seul but que de vous amuser, la majeure partie des combats est évitable, les survivants n'ont pas forcemment à être sauvés vous pouvez faire selon votre rythme sans problème. Massacrer des zombies, atteindre les 100% ou simplement prendre des photos avec l'appareil de Frank; tout vous est accessible. C'est donc un énorme défouloir qui peut attirer joueurs novices comme hardcore gamers et satisfaire tous les publics(majeurs bien sûr). Il faut tout de même souligner la bande-son majoritairement signée Marilyn Manson, parfait pour l'ambiance.

    Dead Rising

    Graphismes: 13/20

    Gameplay: 15/20

    Durée de vie: 15/20

    Bande-son: 14/20

    Scénario: 12/20

    Note finale: 15/20

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  • On continue avec le célèbre jeu de la défunte THQ.

    Darksiders II

    Développeur: Vigil Games

    Editeur: THQ

    Support: Xbox 360

    Date de sortie euro: 21 août 2012

    Genre: Action, Aventure, RPG

    Darksiders II

     

    Suite du célèbre Darksiders ce deuxième épisode était un des événements les plus attendus de 2012 et pour cause, le premier épisode avait eu un succès considérable et était considéré comme l'héritier du genre. Seulement voilà, à faire un jeu copié-collé de son bébé THQ ne pouvait que se planter. Dans cet épisode c'est un autre des cavaliers de l'apocalypse que vous contrôlez, Death et non plus War. L'action se passe en même temps que le premier jeu et vous permet de visiter des lieux gigantesques peuplés d'ennemis dangereux et de boss charismatiques....non je déconne, les lieux sont petits, chiants, les ennemis complètement débiles et inutiles et les boss aussi charismatiques que ma chaussette gauche(la droite se débrouille mieux). Mais en fait....on s'en fout complètement: peu importe que le jeu soit magnifique, qu'il soit long, qu'il ait une belle bande-son, des éléments de RPG complexes et un héros cool, au final ça n'a pas d'importance. En effet , je ne pensais pas dire ça un jour, mais aucun de ces éléments n'a d'importance; Darksiders II est tout simplement le jeu le plus ennuyeux auquel j'ai joué, et j'ai joué à environ 300 jeux, c'est simple, une heure dessus est une heure de torture. Je n'imagine même pas ceux qui ont fait des Let's Play ou des Walktroughs dessus, un enfer.

    Darksiders II

    Donc oui le jeu a des qualités, oui ça parait bien sur le papier mais la vache ! qu'est ce que c'est chiant, c'est simple, ma plus longue partie a durée 32 minutes après j'en pouvais plus. Le truc c'est que je sais pas si vous avez essayé, mais faire un jeu en avançant trente minutes par trente minutes c'est vachement long....du coup on le déteste encore plus. Je dirais que c'est le ressenti global que j'ai de Darksiders II, c'est une immense déception que je n'ai heureusement pas payé et qui ne vaut pas la note, pourtant moyenne, que les critiques lui ont accordés.

    Darksiders II

    Graphismes: 16/20

    Gameplay: 07/20(répétition répétition...)

    Durée de vie: 08/20(vous lâcherez vite)

    Bande-son: 12/20

    Scénario: 12/20

    Note finale: 08/20

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  • Je fais parti des nombreux fans de la série Spartacus donc forcemment quand j'ai entendu qu'Ubisoft se chargeait de l'adaptation vidéo-ludique j'ai été content et en même temps effrayé.Voici donc le test de ce Free-to-play sur Xbox 360.

    Spartacus Legends

    Développeur: Ubisoft

    Editeur: Ubisoft

    Support: Xbox 360

    Date de sortie euro: 26 juin 2013

    Genre: Combat

    Spartacus Legends

     

    Avec Ubisoft, on ne sait jamais à quoi s'attendre, on parle quand même de mecs qui n'ont pas fait beaucoup de bons jeux(Les Lapins Crétins et la plupart des PoP sont des daubes) donc le fait d'être effrayé se comprend parfaitement. On nous promettait un jeu fidèle à la série, qu'en est-il ?

    Spartacus Legends vous propose en réalité de vous placer dans le rôle d'un laniste, un propriétaire de gladiateurs et d'entraîner vos hommes afin qu'ils vous rapportent gloire et fortune et qu'il fasse de votre ludus une institution. On ne contrôle donc pas le célèbre Spartacus ici(même s'il sera possible de l'acheter) mais différents gladiateurs achetés au préalable, chacun avec un style de combat bien défini(épées doubles, dagues doubles, épée/bouclier, arme d'hast, marteau, épée à deux mains...). Il vous faudra donc enchaîner les petits combats puis les combats de primus afin d'accéder aux combats contre les gladiateurs légendaires(dont certains issus de la série, Crixus, Oenomaus et Spartacus par exemple). Le jeu propose donc un fort aspect de gestion, malheureusement plutôt très vite limité par le manque d'argent(free-to-play quoi) et par le manque de contenu. En effet le jeu est au final peu ambitieux et très pauvre, on en fait vite le tour et ça n'aide pas d'avoir des combats répétitifs et peu inspirés. Le gameplay bien qu'intéressant de prime abord est en réalité hyper limité et une cinquantaine de combats nous suffira pour en être dégoûté. Le jeu tourne vite en rond et s'éloigne de plus en plus de la série originale jusqu'à n'avoir de Spartacus que le nom et l'univers de gladiateurs.

    Spartacus Legends

    Au final après quelques combats on ne fait plus que spammer le même bouton dès qu'on a l'avantage, le jeu étant très très difficile, plutôt inintéressant donc. Outre ce gameplay visiblement peu travaillé(bugs, murs invisibles, problèmes de collisions en plus) on touche le fond au niveau graphique, en effet on se croirait très sincèrement sur une PS2, c'est dégueulasse et il est difficile de ne pas prendre ça pour une insulte au vu du temps mis à développer le jeu. En plus de ça les gladiateurs se ressemblent tous, les équipements sont pauvres et les arènes peu inspirées et ne parlons même pas des finish moves horriblement laids. Beaucoup de défauts n'est-ce pas ? Et encore, la durée de vie très faible, la difficulté monstrueuse, les tricheurs en ligne, la bande-son à deux balles et les chargements qui durent cent ans sont autant de problèmes qui gâchent le jeu. Pourtant Spartacus part bien, c'est fun, bourrin, on se défoule vraiment mais très vite le soufflé retombe et on se retrouve devant une énième adaptation bâclée, un autre travail fait à la va-vite de la part d'Ubisoft. Le jeu étant gratuit et le côté free-to-play étant restreint je vous conseille de le télécharger et de l'essayer mais il y a peu de chance qu'il vous retienne bien longtemps. Dommage, le projet était sympa.

    Spartacus Legends

    Graphiquement: 07/20

    Gameplay: 10/20

    Durée de vie: 11/20

    Bande-son: 07/20

    Scénario: 08/20

    Note finale: 10/20

     

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  • On enchaîne avec Crysis, célèbre FPS.

    Crysis

    Développeur: Crytek UK

    Editeur: Electronic Arts

    Support: Xbox Live

    Date de sortie euro: 4 octobre 2011

    Genre: FPS, Infiltration

    Crysis

    Ah Crysis, qui ne connait pas ce fameux FPS qui a révolutionné le genre d'après certains. Eh bien je ne connaissais pas vraiment, seulement de nom, quand je l'ai vu sur le Xbox Live en promo à 5€ au lieu de 20. J'ai décidé de tenter le coup en espérant éviter un second Far Cry 2, daube parmi les daubes, et bien je pense arrêter tout simplement les FPS. Ce n'est que mon avis mais je pense pouvoir dire sans me tromper que Crysis est une merde incommensurable. Le seul point positif est l'aspect graphique qui encore aujourd'hui est assez joli, pour le reste on atteint la nullité suprême. Le gameplay est mauvais, les phases d'infiltration sont super mal faites(et inutiles qui plus est), les combats sont beaucoup trop nerveux, l'IA est pitoyable, le système de munitions n'est clairement pas très réfléchi, la durée de vie est faible, la bande-son est affreuse et le scénario n'est qu'un mauvais remake de films de science-fiction peu inspirés.

    Crysis

    Crysis est donc une déception encore plus importante que Far Cry 2, le jeu n'a qu'un seul point positif et je ne comprends absolument pas tout le bruit qu'il a fait. Une autre merde au panthéon des FPS.

    Graphismes: 16/20

    Gameplay: 04/20

    Durée de vie: 11/20

    Bande-son: 07/20

    Scénario: 07/20

    Note finale: 05/20

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  • Je reprends donc les articles après un bon moment d'absence, je m'en excuse au passage, avec le seul Suikoden sur DS.

    Suikoden Tierkreis

    Développeur: Konami

    Editeur: Konami

    Support: DS

    Date de sortie euro: 19 mars 2009

    Genre: RPG

    Suikoden Tierkreis

    Voici donc le seul jeu de la mythique saga de Konami à avoir atteint le petit monde de la DS et une chose est sûre, ça en valait le coup. Je ne vais pas m'étendre sur la série des Suikoden mais pour les novices, cette dernière est mondialement connue pour être une des meilleures séries de RPG tous supports confondus. Encore une fois le jeu nous propose de prendre le contrôle d'un garçon banal dans le but de libérer une nation du joug de son oppresseur en fondant sa propre armée dont les 108 étoiles sont les fondations. On prend donc le contrôle de notre jeune personnage(que l'on devra nommer), un garçon banal d'un petit village banal et de ses amis, chacun correspondant à un stéréotype du RPG, le sage, le mystérieux, le foufou etc etc. Lors d'une mission de chasse le héros et ses amis Liu, Jale et Marica accompagnés de Dirk, le guerrier du village et sorte de grand frère, découvrent un livre mystérieux enfonçé dans des ruines. Le livre se met alors à briller et une vision apparait à tous les personnages, sauf Dirk trop éloigné du groupe. Rapidement, d'autres visions viennent aux yeux des héros, ces derniers voient en effet les endroits qui existaient auparavant ou qui existeront plus tard, mais comment et pourquoi ? Ce sera à vous de le découvrir au travers de cette formidable aventure qui comme d'habitude avec les Suikoden vous proposera de recruter 107 personnages, certains obligatoires, d'autres non, dans un monde féerique remplis de combats et de moments épiques.

    Suikoden Tierkreis

    Au niveau du scénario, c'est certes classique mais terriblement efficace et on se sent vraiment très à l'aise dans cet univers. Suikoden Tierkreis a le mérite de proposer de l'original sur du classique, nous permettant ainsi de découvrir une nouvelle histoire sur des bases que l'on connait déjà, afin de ne perdre personne et de s'ouvrir à un public le plus large possible. L'univers est comme on l'attend, beau, riche en émotions, parfois sombre et très vaste et encore heureux puisque l'essentiel du jeu repose dessus. Vous passerez énormément de temps à recruter tous les personnages, une tâche beaucoup plus facile que dans les autres épisodes, mais vous ne pourrez que vous amuser. En parlant des personnages, comme d'habitude certains sont utiles d'autres non mais ici il faut bien avouer que tous ont leur petit côté attirant, vraiment on se prend d'affection pour une énorme majorité d'entre eux en plus de personnages additionnels comme Cougar ou l'autre Marica. De ce côté là rien de dépaysant, on reprend vite les vieilles habitudes et les novices y trouveront parfaitement leur compte. Ce n'est de plus pas le gameplay qui posera problème, celui-ci est toujours aussi simple, agréable à prendre en main et efficace. Les phases de jeu sont séparés entre l'exploration classique et les combats, globalement semblable aux autres jeux de la série si ce n'est qu'on retrouve la formation à quatre personnages. Les ennemis sont nombreux, les boss plutôt sympa et au final, il n'y a rien à redire à ce niveau là, c'est en béton armé. On constate rapidement cependant une trop grande facilité même si quelques combats représentent un véritable challenge.

    Suikoden Tierkreis

    Au niveau de la durée de vie il faut compter environ sur 30 heures pour boucler l'intégralité du jeu, plutôt pas mal pour un jeu DS et même pour un Suikoden. Cependant vous ne serez pas tout le temps libre, les quêtes principales notamment vous forçant souvent à utiliser tel ou tel personnage. Les quêtes secondaires elles seront nettement plus libre et vous offriront quantité de bonnes heures de jeu. Passons ensuite sur le plan purement technique: graphiquement ça pète pas mal, bon ça reste un jeu DS donc faut pas demander la Lune mais le niveau artistique est là et peu de joueurs en seront déçus; ensuite la bande-son se révèle assez agréable à entendre à défaut d'être superbe et ça c'est un peu dommageable pour un RPG de cette trempe mais on passe sans trop d'effort dessus. On note quand même quelques bugs graphiques assez bizarres mais heureusement rares. Les fans de la série pourraient par contre être un peu dérangés par l'ambiance générale, beaucoup plus enfantine et complètement différente et je pense que c'est là le seul réel problème du jeu, ses changements trop tournés vers le grand public, après c'est une question de point de vue pas utile à posée puisque le jeu reste une tuerie malgré tout. Suikoden Tierkreis est donc un excellent jeu DS et un excellent RPG qui conviendra à tout le monde et qui a le mérite d'être superbement mis en scène, un excellent titre d'une excellente série. Ah et petite précision supplémentaire, les cinématiques sont réellement magnifiques.

    Suikoden Tierkreis

    Graphismes: 16/20

    Gameplay: 19/20

    Durée de vie: 17/20

    Bande-son: 14/20

    Scénario: 15/20

    Note finale: 18/20

    Suikoden Tierkreis

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