• A présent, attaquons nous à une des plus grandes saga du jeu vidéo, l'incroyable Resident Evil.

    Resident Evil

    Développeur: Capcom

    Editeur: Virgin Interactive

    Support: PS1

    Date de sortie euro: 1er août 1996

    Genre: Survival-horror

    Resident Evil

    Voici donc le monument du survival-horror, celui qui a popularisé ce genre dans le monde entier et qui a servi de fondations à la plupart des jeux du genre qui ont suivis. Le bébé de Mikami est devenu aujourd'hui une légende qu'on se doit d'honorer, nous fans de jeux vidéo.

    Cette petite intro effectuée, je vais donc commencer l'article. Je ne vais pas revenir sur le scénario bien longtemps, je pense qu'aujourd'hui tout le monde connait RE donc on suit l'histoire de l'équipe Alpha des S.T.A.R.S.(une milice de sécurité américaine) qui est envoyée dans le manoir Arklay au-dessus de la ville de Raccoon City afin de retrouver l'équipe Bravo qui n'est pas revenue de mission. Arrivés dans forêt conduisant au manoir, l'équipe est attaquée par des chiens complètement fous qui commencent leur repas. Les quelques survivants arrivés sains et saufs dans la bâtisse vont donc devoir comprendre ce qu'il s'est passé ici, qui est Umbrella etc. La suite on la connait, Jill Valentine, Chris Redfield, Barry Burton et Albert Wesker vont se retrouver nez à nez avec des zombies et autres armes bio-organiques et vont devoir tout faire pour quitter les lieux. Niveau scénario c'est peut-être simple aujourd'hui mais en 1996 c'était du très lourd. L'ambiance était fantastique et nous faisait pisser dans notre froc à certains passages du jeu. Les personnages se révélaient également très bons, que ce soit les deux héros, le bad guy ou l'ours Barry Burton ils dégageaient tous un sacré charisme.

    Resident Evil

    Mais là où RE se démarquait vraiment, c'était dans la mise en scène. Non content d'avoir intégré les zombies et l'horreur au jeu vidéo, le premier épisode était tout simplement génialement conçu. Chaque lieu était propice à une crise de terreur, chaque couloir pouvait renfermer un danger qu'on ne voyait pas à cause de la caméra, chaque fenêtre chaque plaque d'égouts pouvaient nous réserver des surprises. De plus, les phases d'énigmes nous mettaient une pression folle et rendaient toute manoeuvre difficile. Cette peur croissante s'accentuait pendant les combats, difficiles et surtout très rigides, en effet le gameplay était très lourd et il était difficile de se battre efficacement(c'est à dire sans gâcher la moindre munition), et on se retrouvait souvent à devoir fuir. Tous ces éléments créaient une vraie peur comme peu de jeux on pu le faire et nous plaçaient en position de fragilité permanente. Cela permettait une meilleure immersion dans l'histoire qui nous apparaissait alors excellente. Mais ce que je trouve vraiment fort avec RE, c'est que chaque défaut du jeu est transformé de sorte à contribuer à ce dernier quand même. Les problèmes de caméras et de gameplay servent à la mise en scène, la recherche constante de clés aussi, le manque de munitions force à fuir pour ressentir la terreur etc. Rares sont les jeux à pouvoir faire ça et on le doit entièrement à Mikami.

    RE est donc un excellent jeu, un poil trop court malgré ses deux scénarios, mais qui restera dans la mémoire collective comme le premier véritable survival-horror(n'en déplaise aux fans d'Alone in the dark) et un des meilleurs jeux de sa catégorie.

     

    Graphismes: 15/20

    Gameplay: 12/20

    Durée de vie: 14/20

    Bande-son: 19/20

    Scénario: 16/20

    Note finale: 15/20

     

    Resident Evil Deadly Silence

    Resident Evil

    Développeur: Capcom

    Editeur: Capcom

    Support: DS

    Date de sortie euro: 31 mars 2006

    Genre: Survival-horror

    Resident Evil

    Bien évidemment, comme tous les succès du passé, RE s'est vu remastérisé à notre époque(et oui quand on a plus aucune idée on pique dans le passé) et sur DS, pour que le nouveau public découvre ce chef-d'oeuvre. Malheureusement en plus d'être très difficilement jouable et très laid, l'ambiance du titre n'était absolument pas restituée, la faute au format sans doute. De plus les nouveautés étaient pauvres et inintéressantes au possible, un mutli bas de gamme et un mode "Renaissance" qui permettait de rejouer au jeu mais en vue à la première personne et uniquement armé d'un couteau, rien de bien innovant. Ce jeu est donc un mauvais remake sur lequel je ne préfère pas m'étendre.

    Resident Evil

    Graphismes: 09/20

    Gameplay: 09/20

    Durée de vie: 14/20

    Bande-son: 12/20

    Scénario: 16/20

    Note finale: 11/20

     

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  • J'enchaîne donc avec le second épisode qui m'a beaucoup moins déçu.

    Gears of War 2

    Développeur: Epic Games

    Editeur: Microsoft

    Support: Xbox 360

    Date de sortie euro: 7 novembre 2008

    Genre: Action

    Gears of War 2

    Voici donc la suite de la grosse daube qu'est Gears of War premier du nom et on s'en rend vite compte, ça vole toujours pas bien haut. Cependant le deuxième épisode, suite directe du premier, se révèle beaucoup moins agaçant et bien plus réussi que son prédecesseur. Je ne parlerais pas ici du scénario qui reste pitoyable(sauf à un moment assez bien fait) ni même des personnages(quoique Cole et Baird sont enfin calmés et arrêtent de faire chier toutes les deux secondes) mais plutôt du jeu en lui-même. Les bugs ont disparus, l'IA est clairement améliorée, au moins du côté des alliés, le multi est vraiment pas mal et la bande-son est un peu plus épique. De plus, les missions ont désormais des raisons d'être et se révèle peu répétitive et assez sympa, l'humour moins gras aidant. Un des gros défauts qu'il reste est sans conteste son gameplay encore plus lourd et rigide qu'avant, on met du temps à s'y faire et certains n'y arriveront même pas du tout.

    Gears of War 2

    Sinon pour le reste on conserve les graphismes très jolis, le vaste choix d'armes et l'ambiance post-apo ici nettement plus réussie que dans Gears of War 1. Il semble qu'Epic ait compris que le cinéma ne devait pas interférer dans leur jeu et cela se sent, il y a beaucoup moins d'effets hollywoodiens, les scènes sont plus carrées, mieux mises en scène et font surtout penser à un jeu vidéo. Beaucoup des défauts du premier épisode ont été corrigés, malheureusement cela reste encore un jeu bâclé utile seulement pour se défouler et qui n'a visiblement pas demander de travail à beaucoup de scénaristes. J'y ai joué en multi avec mon frère et cela reste une expérience globalement sympathique, mais en solo cela doit être mortellement ennuyeux. Je déconseille en tout cas la série des Gears of War qui m'a bien convaincu de ne pas jouer au troisième épisode ni aux autres merdes qui ont suivies.

    Gears of War 2

    Graphismes: 18/20

    Gameplay: 11/20

    Durée de vie: 13/20

    Bande-son: 13/20

    Scénario: 05/20

    Note finale: 13/20

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  • On reprend maintenant avec le bébé d'Epic Games à savoir Gears of War, la plus hollywoodienne des séries de jeux vidéo.

    Gears of War

    Développeur: Epic Games

    Editeur: Microsoft

    Support: Xbox 360

    Date de sortie euro: 17 novembre 2006

    Genre: Réflexion....nan j'déconne c'est de l'Action

    Gears of War

    Voici donc la fierté de Microsoft parmi ses exclues 360, Gears of War, jeu hautement intellectuel dont le but se résume à buter des Locustes(sortes d'aliens/insectes) à tours de bras et sans jamais comprendre pourquoi. Bon qu'un jeu soit débile ou bourrin peu importe, le divertissement n'est pas spécialement fait pour se cultiver, je ne m'attache pas du tout à ça mais là il faut reconnaître qu'il y a un problème. D'abord un minuscule synopsis:

    A la suite de la découverte par l'humanité d'une nouvelle forme d'énergie le monde s'est considérablement développé, cependant une nouvelle race(sans doute alien) émerge des sous-sols et autres cavités rocheuses pour récupérer cette énergie et annexer la Terre. Les Locustes attaquent donc les hommes et réduisent leur nombre à une poignée. L'alliance terrestre va donc réunir ses meilleurs hommes, les Gears, et les utiliser pour lutter contre cette nouvelle menace et ce, dans une ambiance post-apocalyptique et dépressive. C'est dans ce monde qu'on prend le contrôle de Marcus Fénix et Dominic Santiago, deux Gears d'élites, l'un vient d'être libéré de prison après avoir été condamné pour trahison, l'autre est un soldat modèle à la recherche de sa femme, ainsi que de leurs alliés, Cole et Baird. Voilà donc un petit synopsis qui englobe pourtant déjà trois quarts de l'histoire.

    Gears of War

    Alors, le scénario de Gears of War est mauvais, pitoyable même, et les personnages sont clairement les pires qu'on ait pu voir depuis des lustres dans un jeu AAA. Cependant le jeu nous montre bien qu'ils n'ont aucune importance, le but est de buter un max d'ennemis, point. Bon, en tant que joueur on fait l'impasse dessus et on se décide à se prêter au jeu seulement voilà, le jeu est un concentré de beaufitude: humour de merde, gros porcs de 200kgs de muscles qui éclatent leurs ennemis à coups de fusils à pompe dans des gerbes de sang et de boyaux, scènes de massacres en gros plans et ce sans aucune raison et ennemis moches comme tout mais gros et bien violents. Ce n'est pas simplement bourrin, c'est à chier tout simplement. On voit clairement le manque non seulement d'inspiration mais aussi de boulot, les gunfights s'enchaînent sans saveur, ça pête dans tous les sens, ça ressemble à rien, on passe son temps à bousiller des gros monstres tous identiques ou presque et on comprend pas pourquoi les personnages vont à tel endroit, font tel chose ou dise tel truc. Pire, on finit vraiment par plus pouvoir supporter ces gros tas de cervelle comme Cole et ses cris permanents ou Baird et son humour d'attardé. C'est très très lourd et je ne vois pas du tout pourquoi Microsoft est fier de cette merde, hormis peut-être les ventes mais ça ne fait pas tout. Mis à part donc ce "scénario" et cet univers peu créatif on peut aussi s'attaquer au gameplay, rigide et lourd comme pas permis et puis surtout, plein de bugs(pour que ce soit marrant). Eh oui des ennemis qui n'apparaissent pas quand ils faut tous les tuer pour continuer, les persos qui restent bloqués contre un mur ou mieux, qui restent en plein milieu des zones de combats sans tirer, les alliés qui claquent en deux secondes, ceux qui se suicident avec leur propres grenades etc etc. En plus des bugs, l'IA est catastrophique, alliés comme ennemis ont autant d'intelligence que des poules, mais des poules bien connes. Si on combine tout ça à une bande-son poussive en français, convenable en anglais, une durée de vie de huit heures et un multi pourri on obtient une des plus grosses daubes du siècle. En fait le succès de ce jeu se résume à une seule chose; on dirait un film hollywoodien, c'est aussi bossé et inspiré qu'un blockbuster américain et ça c'est inacceptable, que le jeu vidéo s'immisce dans le cinéma ça donne déjà beaucoup de catastrophes mais que l'inverse se fasse, c'est impossible. On ne peut pas faire un jeu basé sur des mécaniques de film et ça ce serait bien de le comprendre, la conversion n'est pas possible sauf si le jeu en question est un jeu interactif à la sauce Heavy Rain ou Beyond Two Souls. Bref, je pourrais continuer sur les défauts encore longtemps mais je vais m'arrêter là. Passons alors aux qualités du titre qui en a tout de même: les graphismes sont assez impressionnants pour l'époque, même s'ils ont sacrément vieillis, le choix des armes est plutôt vaste compte tenu du type de jeu dans lequel on est et enfin, LA qualité du titre, c'est un putain de défouloir(pendant une demi-heure pas plus en fait). C'est sans doute là-dessus que Gears of War a fait son beurre, sur son côté défouloir "je débranche mon cerveau". Mais même en prenant en compte ce point, on trouve bien mieux dans le même style. Au final je n'aurais donc trouver aucune qualité incontestable au titre, honnêtement je ne comprends pas comment un "truc" comme ça a pu se hisser au top des ventes et récolter un 18 de jeuxvideo.com(remarque ce serait pas la première fois qu'ils noteraient bizarrement). Gears of War est une merde, j'ai eu l'occasion de jouer au 2 qui lui m'a paru nettement meilleur, j'en ferais un article d'ailleurs mais celui-là est très mauvais.

    Gears of War

    Graphismes: 16/20

    Gameplay: 12/20

    Durée de vie: 12/20

    Bande-son: 11/20

    Scénario: 05/20

    Note finale: 08/20

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  • Qui ne connait pas la franchise X-men ou plus généralement les Marvels aujourd'hui ? En France leur popularité à beaucoup augmenter ces dernières années, aux USA on y entretien un culte depuis bien plus longtemps. Obligatoirement, des adaptations vidéo-ludiques ont vus le jour, dont ce jeu. Alors, bon ou pas bon ? Réponse tout de suite.

    X-men Mutant Academy 2

    Développeur: Paradox Interactive

    Editeur: Activision

    Support: PS1

    Date de sortie euro: 28 septembre 2001

    Genre: Combat

    X-men Mutant Academy 2

    Un jeu de combat X-men ? Ce n'est pas très étonnant me direz-vous et vous aurez raison, un X-men ne peut être qu'un jeu de combat. Alors, est-ce que la qualité est au rendez-vous ? Eh bien avant de répondre je vais d'abord mettre en évidence 3 points:

    -d'abord, le jeu est un jeu de combat qui n'a quasiment aucune chance de s'imposer sur le marché au vu des concurrents bien plus anciens et populaires ,et ça l'équipe créative le savait très bien

    -ensuite, le jeu est édité par Activision(mais si vous savez Call of Duty, pan pan boum boum avec la meilleure communauté d'attardés du monde)

    -et pour finir, c'est une adaptation

    Ces trois points répondent donc à la question, le jeu est mauvais. Et pourtant pas tant que ça, on lui trouve des qualités. En fait l'échec était tellement évident que les développeurs ont fait au plus simple, le jeu est assez sympa pendant une ou deux heures, après beaucoup moins mais on voit un manque de travail et surtout de motivation sur un jeu qui aurait pu être efficace. Le vrai problème du jeu réside dans son gameplay; si certains fans de jeux de baston insultent les Tekken, c'est parce qu'ils les considèrent comme trop simples, trop faciles et donc moins élitistes et bien c'est un peu ce qui se produit ici. Le jeu est trop peu travaillé, les mouvements sont répétitifs, presque les mêmes pour tous les personnages et les coups spéciaux sont inintéressants, de plus la palette de coups disponibles est vraiment très faibles. De quoi paraître répétitif au bout d'une demi-heure de jeu.

    X-men Mutant Academy 2

    En plus de ça, on voit clairement un manque de travail sur les graphismes vraiment hideux. C'est pareil pour la durée de vie: déjà faire un jeu aussi répétitif c'est s'assurer de générer une faible durée de vie, mais quand en plus vous mettez très peu de personnages avec seulement deux à débloquer vous cherchez un peu le bâton pour vous faire battre. Et puis je ne reviendrais pas sur l'aspect sonore du titre.

    X-men Mutant Academy 2 est donc un jeu qui aurait pu comme les Tekken accéder à une certaine glore, le sujet est sympa, la popularité des X-men n'est plus à prouver mais on constate vite un manque d'ambition et de sérieux car les développeurs voyaient clairement venir l'échec. On ne peut pas vraiment leur reprocher leur attitude mais il est vrai qu'on aurait aimé un jeu un peu meilleur. C'est dommage, c'est presque un jeu potable.

     

    Graphismes: 10/20

    Gameplay: 08/20

    Durée de vie: 07/20

    Bande-son: 08/20

    Scénario: -/20

    Note finale: 08/20

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  • On enchaîne avec le dernier épisode de GTA auquel j'ai joué, GTA IV.

    GTA IV

    Développeur: Rockstar Games

    Editeur: Take 2 Interactive

    Support: Xbox 360

    Date de sortie euro: 29 avril 2008

    Genre: Action

    GTA IV

    Digne héritier de GTA San Andreas, GTA IV mise lui aussi sur un scénario travaillé, moins de n'importe quoi et surtout, la grande nouveauté, sur des graphismes magnifiques. Ici on suit le jeune bad boy Niko Bellic, serbe d'origine, qui émigre à Liberty City pour rejoindre son cousin Roman ayant soi-disant fait fortune en Amérique. Fuyant la guerre et l'horreur de la mort, Niko est bien décidé à s'en sortir par tous les moyens, il veut devenir riche. S'ensuit alors une quête de richesse et de succès pour les deux cousins qui va vite tourner au drame et se révéler être beaucoup plus ardue que prévu. Le scénario de GTA IV est certes profond et prend une place importante dans le jeu mais il est assez difficile de se plonger dedans, on reste un peu de marbre devant le passé de Niko comme celui de Roman et aucun personnage, que ce soit eux ou non, ne nous marqueront dans le bon sens du terme. Le background est là, mais il se révèle bien peu intéressant, de même que tout l'aspect scénaristique du jeu. Au final on fait l'impasse sur ce point qui à au moins le mérite de nous placer un fil conducteur dans les événements du jeu. Le scénario est décevant, encore plus quand on voit les deux fins proposées, toutes deux minables.

    GTA IV

    Heureusement le jeu se rattrape sur bien d'autres points à commencer par les graphismes magnifiques et le gameplay exigeant mais efficace. Jamais on aura pris autant de plaisir à jouer à un GTA, à contrôler son personnage. Sinon au niveau de la durée de vie comptez moins de trente heures, le jeu est malheureusement court et très très facile ce qui contraste pas mal avec les autres productions Rockstar et qui baisse un peu la qualité globale du titre. La bande-son n'est pas spécialement folichonne à défaut d'être mauvaise mais les doublages sont juste énormes, c'est vraiment quelque chose d'excellent qu'il manquait depuis longtemps à la saga.

    GTA IV

    Le jeu est donc bon à défaut d'être excellent, mais une chose est sûre, vous vous amuserez, peu importe l'aspect technique, sonore et scénaristique, l'important dans un GTA c'est le fun. Et ici il y en a du fun, c'est l'éclate totale et personne ne me contredira. Les quêtes sont variées, nombreuses et proposent leur lots d'explosions énormes, de courses poursuites endiablées et autres fusillades entre gangs. Vous ne vous reposerez jamais et c'est un des points forts du jeu. Au final GTA IV est un jeu qui vaut le coup mais qui a déçu énormément de fans de la saga, beaucoup n'ont pas été sensibles à Niko Bellic et ont trouvé Liberty City dépassée. Au vu du succès de GTA V, cela n'a pas entaché les ventes mais au moment de la sortie du quatrième épisode, une belle déception avait marquée bon nombres de fans dont moi. Cela reste un bon titre mais décevant comparé à ce qui pouvait être fait. Ah oui dernier point dont j'ai oublié de parler et pour cause, le multi, n'y jouez pas c'est le seul conseil que je peux vous donner.

    GTA IV

    Graphismes: 18/20

    Gameplay: 17/20

    Durée de vie: 15/20

    Bande-son: 13/20

    Scénario: 10/20

    Note finale: 16/20

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