• Bon, maintenant que les articles du jour sont terminés passons à un petit descriptif de ce qui va arriver dans les prochains jours et prochaines semaines. 

    Tout d'abord comme vous l'aurez remarqué j'écrirai deux articles par jour cette semaine. Enfin en réalité, deux aujourd'hui, demain et après-demain. Pour le 24 ce sera une compilation de trois ou quatre petits articles. Ceci est fait dans le but de combler l'absence du 25, du 1er(et peut-être aussi du 31, ça je vous le confirmerai) et des semaines qui vont suivre. En effet, du 4 au 17 janvier le blog restera inactif. J'ai des examens et il me sera difficilement possible de prendre du temps pour moi. Pour la semaine du 18, j'ignore encore ce que je ferai mais le blog reprendra bien son activité. Sans doute avec un contenu plus léger mais il reprendra. Enfin, dès la semaine suivante tout devrait revenir à la normale.

    On ne se verra donc pas le 25, possiblement le 31, le 1er et du 4 au 17. En contrepartie plus d'articles sortiront cette semaine. Maigre contrepartie mais tout de même. Sur ce je vous dis à demain et vous souhaite une bonne fin de journée.

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  • On termine avec un projet des Gobelins : Le Royaume.

    Le Royaume

    Nom Original : Le Royaume

    Réalisateur : Oussama Bouacheria, Nuno Alves-Rodrigues, Julien Chheng

    Année de sortie : 2010

    Genre : Aventure

    Studio : Les Gobelins

    Durée : 4min09

    Le Royaume

    Nouvelle création des Gobelins, Le Royaume est un court-métrage se déroulant dans un monde apparemment moyenâgeux et dans lequel un roi aux allures étranges cherche à se construire un château. Pour ce faire et après de nombreux péripéties, le roi demande l'aide d'un castor, constructeur parmi les constructeurs. La bête accepte et accomplit sa besogne avec soin et énergie. Mais le roi n'est jamais content et agit rapidement comme un tyran. Alors que le mauvais temps fait son oeuvre et que la structure du château peine à avancer, un énième coup de colère du roi change définitivement le castor. Ce qui aurait pu devenir une amitié solide vire au drame.

    Doté d'une direction artistique de toute beauté et animé de la plus belle manière possible, Le Royaume est un superbe court-métrage d'animation qui fait honneur aux Gobelins. Emprunt de références notables, il semble tirer partie de nombreuses histoires pour faire transparaître plusieurs messages parfois difficile à démêler les uns des autres mais pourtant assez simples à comprendre critique du pouvoir en tête. Plutôt bien fichu, il ne cherche pas très loin mais offre une belle petite histoire à quiconque a quatre minutes devant lui. Un bon court-métrage qu'il m'a été très plaisant de voir. Je vous le conseille vivement. 

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  • On se retrouve en ce début de semaine de Noël pour parler de deux courts-métrages d'animation. On commence de suite avec A Gentlemen's Duel.

    A Gentlemen's Duel

    Nom Original : A Gentlemen's Duel

    Réalisateur : Sean McNally, Francisco Ruiz-Velasco

    Année de sortie : 2006

    Genre : Comédie

    Studio : Blur Studio

    Durée : 7min46

    A Gentlemen's Duel

    Revisitant le classique de la rivalité amoureuse pour les beaux yeux d'une princesse, A Gentlemen's Duel tourne l'ensemble de l'histoire en dérision en nous offre l'un des courts-métrages les plus hilarants de l'histoire de l'animation. Le film nous présente le quotidien d'une jeune dame de la cour, belle et dotée d'une poitrine qui attire tous les regards, qui est au centre d'une rivalité opposant ce qui semble être un français et un anglais. Ennemis, les deux hommes se retrouvent par un malheureux hasard à essayer de faire la cour à leur dulcinée au même moment. Tout d'abord fière de provoquer ce genre de réaction, la princesse va vite déchanter quand elle verra que l'honneur des hommes passe avant tout. Malheureuse victime du conflit opposant les prétendants, la jeune femme va se retrouver bien malgré elle en sale posture et avec quelques bosses à la tête...

    Superbement mis en scène A Gentlemen's Duel est un excellent court-métrage comique qui revisite avec talent et espièglerie un grand classique de la fiction. Les hommes comme les femmes en prennent pour leur grade et ça n'en est que plus drôle. Assez joli, le film nous révèle son véritable potentiel à partir du moment où tout part en vrille, on assiste alors à un beau travail technique certes très perfectible mais qui s'insère parfaitement dans le thème. Mention spéciale également pour la direction artistique que je trouve fameuse. A Gentlemen's Duel est donc un court-métrage qui fait un sans faute et à mes yeux, l'une des meilleurs comédies qu'on peut trouver dans ce pan de l'animation.

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  • On continue dans les films d'animation avec le bien connu Spirit, l'étalon des plaines.

    Spirit, l'étalon des plaines

    Nom Original : Spirit : Stallion of the Cimarron

    Réalisateur : Kelly Asbury et Lorna Cook

    Année de sortie : 2002

    Genre : Aventure

    Studio : DreamWorks SKG

    Durée : 1h20

    Spirit, l'étalon des plaines

    Gros succès de DreamWorks du début des années 2000, Spirit, l'étalon des plaines est un film d'animation dont j'ai très souvent entendu parler. Ne m'attirant pas du tout de prime abord, j'ai fini par m'y intéresser récemment. J'ai donc vu ce film pour la première fois treize ans après sa sortie et le bilan m'est apparu inévitablement mitigé. Mais avant d'en dire plus, passons au synopsis. Le film raconte l'histoire de Spirit, un mustang d'Amérique du Nord, en pleine conquête de l'Ouest au XIXème siècle. Magnifique pur-sang devenu chef de son troupeau, Spirit est courageux, aimant et protecteur envers les siens ce qui le pousse souvent à affronter des ennemis redoutables. Mais il est aussi trop curieux et trop sûr de lui et c'est ce qui le mettra dans les ennuis lorsqu'il réveillera une bande de cow-boys en recherche de bons chevaux sauvages. Capturé pour l'armée, Spirit va faire l'objet de tentatives de dressage par les militaires et notamment par un colonel retord. Ne cédant jamais à l'oppression, le cheval des plaines va faire montre d'un courage étonnant et va entre autres sauver un indien. Il se rapprochera alors de ces étranges tribus d'humains, y trouvant finalement son compte. Mais la guerre entre ses nouveaux amis et l'armée ne restera pas longtemps loin de lui...

    Spirit, l'étalon des plaines

    Extrêmement simple en terme de scénario, de personnages et de background, Spirit est avant tout un film d'exposition c'est à dire un film dont le but est d'en mettre plein la vue et d'émoustiller un maximum notre sens artistique. Les événements décrits sont très simples et prévisibles de sorte qu'on n'y attache pas trop d'importance, les dialogues sont très peu nombreux afin de ne pas être pris par le récit à la base assez classique, tout est orienté de telle sorte qu'on survole le monde de Spirit pour simplement être touché par la direction artistique. Et en 2002, ça a marché. Le film était très beau, les plans larges magnifiques et la bande-son signée Hans Zimmer était et est encore sublime. Malheureusement, comme tous les films d'exposition, Spirit n'est plus le même quelques années après. La technique a suffisamment évolué pour qu'un film scénarisé et développé soit facilement plus beau que lui. La mise en scène tout comme les effets de narration ont connus des évolutions monstrueuses et le public n'attend plus la même chose. Le temps fait donc de Spirit un film aisément dépassé par la plupart des productions d'aujourd'hui. Il y a donc des chances pour que le seul public scotché par le film soit celui qui l'a vu il y a quelques années ou à sa sortie. Personnellement, j'ai trouvé l'ensemble artistiquement satisfaisant mais pas assez impressionnant pour me détourner du scénario basique, des personnages fades et des retournements de situation répétitifs. Comme tous les films d'exposition, Spirit n'a pas pu se maintenir à un niveau exceptionnel bien longtemps. Mais au vu de mes impressions actuelles, j'imagine qu'en 2002, c'était un film remarquable et proche de la perfection en terme de DA, de narration et de mise en scène. Une belle oeuvre tout de même.

    Spirit, l'étalon des plaines

    Note finale : 13/20

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  • On se retrouve aujourd'hui pour aborder un nouveau film d'animation : Planes.

    Planes

    Nom Original : Planes

    Réalisateur : Klay Hall

    Année de sortie : 2013

    Genre : Aventure, Comédie

    Studio : Walt Disney Pictures, DisneyToon Studios

    Durée : 1h32

    Planes

    127ème long-métrage d'animation produit par Disney, Planes est un spin-off de la célèbre licence made in Pixar Cars. Sorti en 2013, le premier épisode de ce qui devrait être une trilogie a remporté un assez grand succès avec environ 220 millions de dollars engrangés pour seulement 50 de dépensés. Forcément très inspiré de Cars, Planes se déroule cependant dans les airs puisqu'il s'agit de suivre le quotidien d'avions qui parlent. A l'instar d'un certain Flash McQueen, Dusty Crophopper est un jeune "garçon" passionné de courses et qui rêve de parcourir le monde en remportant des championnats divers et variés. Avion épandeur de son état, Dusty n'accepte pas sa destinée et refuse de répandre plus longtemps du fumier et des engrais dans les champs. Il s'inscrit alors à une épreuve de qualification pour le Grand Rallye du Tour du Ciel. Qualifié de justesse grâce au dopage d'un autre participant, Dusty réalise l'ampleur de la tâche qui l'attend. Paniqué et souffrant de vertige, il peut cependant compter sur des alliés de poids : ses amis. Commence alors le rêve de toute une vie pour le jeune avion. 

    Planes

    Plutôt bien fichu, Turbo est un film d'an....ah pardon, je voulais dire Cars est un film...Toujours pas. Bon, eh bien je pense qu'on cerne déjà le plus gros problème du film. Si vous avez vu Cars, vous avez vu Cars 2, Turbo et Planes. L'un nous présente des voitures, l'autre des escargots de course et le dernier des avions. Accrochez vous, car c'est bien la seule différence entre tous ces films. Le postulat de départ, les personnages, les rebondissements scénaristiques, l'animation(sauf pour Cars), le scénario, la fin et même la bande-son sont quasiment identiques dans chacun de ces longs-métrages. Cars était génial et surtout, nouveau. Le deuxième était plutôt correct à défaut d'être très travaillé et on sentait déjà le réchauffé. Turbo, si on ne peut pas dire qu'il était mauvais, n'apportait absolument rien du tout de neuf. Planes tombe malheureusement dans les mêmes travers. Pris séparément, chacun de ces films est assez sympathique mais quand vous les avez tous vu, ils sont au mieux passables et au pire ennuyeux à mourir. Planes n'a rien d'original, rien de particulier et peine même à reprendre le même rythme que Turbo et Cars. Si je ne peux pas me résoudre à dire que ce Disney est bas de gamme, il n'est pourtant pas bien folichon. En fait, j'ai envie de dire qu'il est encore plus destiné aux enfants que les autres productions Disney. Un enfant n'a pas vu grand chose, il ne connaît pas beaucoup de films d'animation. Idem si vous avez zappé les films que je cite plus haut. Là, éventuellement, Planes passe beaucoup mieux. Mais si Cars et Turbo ne vous sont pas inconnus, évitez de perdre votre temps avec Planes, ça ne vaut pas vraiment l'effort.

    Planes

    Note finale : 11/20

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