Si vous avez la chance de posséder Borderlands en version Game of the Year(GOTY), vous pourrez jouer aux quatre DLC sans les payer, mais est-ce que ça vaut bien le coup ? A vrai dire j'ai trouvé ces DLC pitoyables, une vraie plaie qui vient gâcher le travail fourni sur le jeu original, on peut s'y détendre quelques heures mais honnêtement rien n'est réellement bon dedans.

THE ZOMBIE ISLAND OF DOCTOR NED

Développeur: Gearbox Software

Editeur: 2K Games

Support: Xbox 360

Date de sortie euro: 24 novembre 2009

Genre: FPS, RPG

Voici donc le premier "échec" de Borderlands. Vous permettant de visiter une île remplie de zombies et de loups-garous pour rendre service au docteur Ned, ce DLC vous fournira la dose d'action qu'il vous faut, c'est tout. En effet aucun ajout important, aucun bonus considérable, aucun humour et surtout, aucune innovation. On enchaîne bourrinage sur bourrinage sans savoir pourquoi, avec des dizaines d'ennemis qui polluent l'écran et tout ça pour quoi, pour un scénario au ras des pâquerettes qui contraste complètement avec l'univers fou mais cohérent de Borderlands. Au final, l'amusement est à la hauteur de la déception ce qui laisse une impression de rien-du-tout flagrante. Un DLC faisable mais sans plus qui doit ses défauts au fait qu'il soit sorti un mois après le jeu original, n'apportant donc rien de neuf, seulement six heures de castagne.

Graphismes: 18/20

Gameplay: 15/20

Durée de vie: 14/20

Bande-son: 18/20

Scénario: 07/20

Note finale: 11/20

 

EMEUTE DANS L'UNDERDOME DE MAD MOXXI

Développeur: Gearbox Software

Editeur: 2K Games

Support: Xbox 360

Date de sortie euro:29 décembre 2009

Genre: FPS, RPG

Voici sans conteste le meilleur DLC de Borderlands, pourtant rien d'extraordinaire. L'underdome de Mad Moxxi vous est désormais accessible, comprenez par là, la plus grande arène du jeu. Il est indispensable de former une équipe avec d'autres joueurs pour vous éclater dans un grand jeu de massacre horriblement exaltant. Malheureusement et c'est là le seul gros défaut du DLC, la communauté de Borderlands est peu nombreuse ce qui vous laisse peu de chances de jouer. Dommage.

Graphismes: 18/20

Gameplay: 18/20

Durée de vie: 17/20

Bande-son: 18/20

Scénario: 10/20

Note finale: 13/20

 

L'ARMURERIE SECRETE DU GENERAL KNOXX

Développeur: Gearbox Software

Editeur: 2K Games

Support: Xbox 360

Date de sortie euro: 24 février 2010

Genre: FPS, RPG

Le pire DLC sans contestation possible. Très long(dix heures) et par conséquent terriblement ennuyeux dans ce cas là, ce DLC nous confronte tout simplement au général Knoxx et essaie de nous faire rire avec un humour à deux balles et un scénario clairement risible. Plutôt bien reçu par la critique je me demande combien 2K Games a payé les pseudos pros. En tout cas, moi je me suis ennuyé ferme pendant 10 heures en espérant voir un truc super à la fin, truc qui n'est jamais arrivé. A noter, un game design hyper hasardeux et des niveaux tous plus moches les uns que les autres, une honte.

Graphismes: 14/20

Gameplay: 15/20

Durée de vie: 14/20

Bande-son: 18/20

Scénario: 06/20

Note finale: 07/20

 

NOUVELLE REVOLUTION

Développeur: Gearbox Software

Editeur: 2K Games

Support: Xbox 360

Date de sortie euro: 29 septembre 2010

Genre: FPS, RPG

Sans être bon, ce DLC retourne enfin aux origines de Borderlands. Complètement fou, très drôle et plein d'action, il nous propose de rejoindre les Claptraps dans leur révolution. Sans être novateur et pire, en étant hyper répétitif, ce DLC assure quelques petites heures de divertissement. Vous en aurez vite fait le tour et il ne vous marquera pas, mais cela reste un divertissement correct.

Graphismes: 18/20

Gameplay: 18/20

Durée de vie: 13/20

Bande-son: 18/20

Scénario: 13/20

Note finale: 12/20

Continuons donc avec une série que j'ai particulièrement apprécié à savoir Borderlands, le bébé de Gearbox.

Développeur: Gearbox Software

Editeur: 2K Games

Support: Xbox 360

Date de sortie euro: 23 octobre 2009

Genre: FPS, RPG

Habile mélange de FPS et de RPG Borderlands a marqué l'année 2009 grâce à son style déjanté, son cell-shading et son humour gras et vulgaire. Nous plongeant dans la peau d'un chasseur de l'Arche, un mercenaire à la recherche d'un portail abritant une montagne de trésor sur la planète Pandora, Borderlands promet aux bourrins des heures et des heures de plaisir. Vous commencerez donc le jeu par le choix traditionnel du personnage : en gros il y a le bourrin, le soldat, le sniper ou la sirène, chacun avec un arbre de compétence propre et une furie spécifique. N'hésitez pas à vous lâcher car il n'y a pas grande différence. Vous vous retrouverez donc sans rien au milieu du désert de Pandora à marcher sans espoir vers la ville la plus proche. Après un petit didacticiel très réussi vous voila arriver à cette fameuse ville qui vous promet mille merveilles. En effet le contenu de Borderlands est assez conséquent, que ce soit dans cette ville-ci ou dans les autres soyez certain d'être occupé au moins 30 heures. Les quêtes principales sont nombreuses, vivantes et complètement folles mais les quêtes secondaires ne sont pas en reste, très drôles, variées et créatives elles peuvent vous demander de réussir une course, de tuer un certain nombre d'ennemis, de discuter avec un vieil ivrogne, de tuer une créature légendaire, de voler, de trafiquer ou de récupérer des objets dans le but de fabriquer quelque chose d'utile. Malgré la répétitivité occasionnelle vous ne vous ennuierez jamais grâce à l'humour omniprésent, graveleux et peu intellectuel et grâce au design magnifique de Pandora, en cell-shading.

Proposant un challenge très acceptable, Borderlands vous plongera donc dans un mélange de FPS et de RPG puisque vous gagnerez de l'XP et des objets après chaque combat et que vous débloquerez avec vos points de compétence de nouvelles techniques parfois carrément jouissives. Loin de dénaturer le jeu qui reste un FPS, ce système peut facilement vous rendre accro au carnage afin de devenir le plus puissant des chasseurs de l'Arche ce qui ne pourra que vous être bénéfique tant les dangers sont présents : chiens du désert, bandits, soldats du gouvernement j'en passe et des meilleurs vous attendent tous de pied ferme avec l'intention d'en découdre. N'oublions pas non plus les boss complètement cinglés et très coriaces qui peuplent l'univers de Borderlands. Vous l'aurez compris, si le scénario du jeu est très mince c'est pour mieux nous immerger dans son humour, sa liberté d'action et son ton très léger. Et c'est fait avec une véritable réussite. Au niveau technique, le jeu est vraiment beau si tant est qu'on apprécie le cell-shading, les non-fans risquent bien de faire des allergies. Le gameplay est solide et vif, la maniabilité sans grande innovation mais également sans réel défaut et la bande-son reste clairement une très belle composition, mention spéciale aux voix des personnages qui sont vraiment très travaillées. Après le jeu n'est pas parfait mais presque, le seul réel problème est pour moi son mode multi, anecdotique et peu fréquenté il n'est absolument pas intéressant. Borderlands est donc un de ces jeux qui vous marquent à vie et qui vous font passer un très bon moment devant votre écran. Une très belle réussite de Gearbox.

Graphismes: 18/20

Gameplay: 18/20

Durée de vie: 18/20

Bande-son: 18/20

Scénario: 13/20

Note finale: 18/20

 

On enchaîne maintenant avec un petit jeu GBA.

Développeur: Webfoot

Editeur: Infogrames

Support: GBA

Date de sortie euro: 2 octobre 2002

Genre: Action, RPG

Voici un curieux mélange entre jeu d'action et RPG. L'héritage de Goku vous permet de revivre le début de DBZ, de l'apparition de Radditz jusqu'au combat final contre Freezer dans la peau de Goku et dans un jeu typé action-aventure prenant beaucoup au RPG. Vous aurez donc le loisir d'augmenter votre jauge de vie, de pouvoir etc comme dans les RPG classiques. Le reste se découpera en combats contre des loups(???) ou autres créatures sans rapports avec le manga puis en affrontements contre les personnages emblématiques. A défaut d'être vraiment bon ce titre reste marquant par sa beauté et sa bande-son qui en font au final un bon premier essai dans ce genre et sur GBA.

Graphismes: 14/20

Gameplay: 13/20

Durée de vie: 13/20

Bande-son: 15/20

Scénario: 12/20

Note finale: 13/20

On enchaîne avec le seul DLC de Mass Effect 3 que je possède à savoir Citadelle, le seul DLC que je considère comme indispensable.

Développeur: BioWare

Editeur: EA

Support: Xbox 360

Date de sortie euro: 5 mars 2013

Genre: Action-RPG

Un DLC indispensable ? Eh bien oui, moi qui suis pourtant assez défavorable aux DLC je ne peux m'empêcher d'être conquis par Citadelle. Voyons d'abord le scénario de ce petit épisode:

Obligé de se poser sur la Citadelle pour une révision mécanique, le Normandy décharge ses occupants dans le centre de la galaxie pour une semaine de repos. Appelé par Anderson, Shepard se rend à un appartement dans l'avenue Stellargent, celui de son capitaine et ami. A son arrivée, il découvre un message d'Anderson qui lui lègue cet appartement gigantesque. Vous voici donc chez vous. Peu après Shepard se rend au restaurant avec Joker, il rencontre alors une certaine Maya Brooks, soldat de l'Alliance venue discuter avec lui. Cependant des mercenaires débarquent en plein milieu de la soirée et tentent d'assassiner Shepard qui, désarmé, se voit obligé de fuir par l'intérieur même des conduits de la Citadelle. Rapidement rejoint par ses alliés, Brooks et Wrex(et oui, ce dernier effectue un retour), Shepard partira en quête du mystérieux inconnu qui veut sa mort.

Le scénario est, je trouve, très bon. Il contient beaucoup de retournements de situations, de révélations et surtout, d'humour. En effet le retour de Wrex marque également le retour à un humour bourrin, sorti de nulle part et toujours sans prévenir. Pour tout dire, que ce soit avec Wrex, Grunt ou Zaeed, je n'ai jamais autant ris dans un jeu vidéo. Enfin bref, le scénario est très bon et tient parfaitement la route. On retrouvera encore une fois tous les personnages des trois Mass Effect qui nous offriront tous des séquences drôles ou touchantes, dans l'appartement de Shepard ou dans l'avenue Stellargent désormais débloquée. L'histoire dure environ 3 heures mais détrompez-vous si vous pensez que le DLC s'arrête là.

En effet le contenu de Citadelle est juste énorme. Outre l'histoire, vous débloquerez donc l'avenue Stellargent qui vous permettra de jouer au casino, à plusieurs mini-jeux assez sympa, de participer à l'arène de combat dans laquelle vous pourrez réintégrer à votre commando tous les personnages de Mass Effect 1&2. Vous aurez également accès à de nouvelles armes et armures hyper puissantes grâce à vos points dans l'arène, à de nouvelles quêtes relationnelles, de nouvelles quêtes secondaires, à une veillée funèbre en l'honneur de Thane Krios, moment fort en émotion et enfin à une fête. Une fête ? Eh oui, en fait deux fêtes différentes que vous pourrez organiser à la fin du DLC. Vous aurez le loisir d'inviter tous les amis de Shepard pour une fête type soirée entre amis ou pour une fête de dingues bourrés mais vous pourrez aussi mélanger les deux histoire de changer un peu d'ambiance. Ces fêtes, toutes deux très longues(environ 1h30 chacune) vous donnerons accès à des moments très comiques et à des scènettes très sympa qui approfondiront encore l'univers de Mass Effect. Encore une fois, vous allez vous marrer, entre Grunt qui rembarre les fans de Shepard, Zaeed et Garrus qui posent des pièges mortels dans tout l'appart, Joker qui danse ou Wrex qui mitraille vous ne pourrez plus vous arrêter. Au total et si vous faites ce DLC à 100% vous en aurez pour environ 15 heures de jeu voire 20 si vous jouez dans l'arène aux plus hauts niveaux de difficulté. Mass Effect 3 Citadelle est donc le seul DLC que je conseille vraiment.

Graphismes: 20/20

Gameplay: 18/20

Durée de vie: 17/20

Bande-son: 20/20

Scénario: 19/20

Note finale: 18/20

Passons à présent au dernier épisode de la trilogie Shepard de Mass Effect puisque le prochain épisode devrait reprendre une autre partie de l'histoire, voici Mass Effect 3.

Développeur: BioWare

Editeur: EA

Support: Xbox 360

Date de sortie euro: 8 mars 2012

Genre: Action-RPG

Voici donc la fin de l'aventure sur laquelle nous avons passés tant de temps. Un épisode très attendu par les fans de l'univers de Karpyshyn et on comprend bien pourquoi. Mass Effect 3 reprend deux ans après Mass Effect 2 alors que Shepard vient de sortir d'une période d'isolement infligée à la suite de ses propos jugés peu cohérents sur le retour des Moissonneurs(enfin si Shepard à survécu à la fin du 2, en effet petit spoil, tous les persos de l'équipe peuvent mourir lors de la mission suicide). Les espèces ne voulaient pas croire à ces derniers, pourtant les Moissonneurs viennent de faire leur apparition et ont commencés à ravager les planètes et les colonies à commencer par celles de la race butarienne. Shepard est donc libéré grâce à Anderson lorsque les Moissonneurs attaquent la Terre et la prennent d'assaut. Après une attaque très violente qui provoquent des milliers de morts humaines en quelques minutes, Anderson aide Shepard à s'échapper aux côtés d'Ashley Williams/Kaidan Alenko(en fonction de celui qui a survécu au 1) et de James Vega, le petit nouveau. Promettant de réunir une armée intergalactique pour libérer la Terre, Shepard s'en va donc en quête d'une solution exterminatrice de Moissonneurs. Il se rend alors sur Mars ou Liara T'Soni à trouver quelque chose lui permettant l'achèvement de son plan. Une fois les plans du Creuset trouvés, ce gigantesque canon anti-moissonneurs d'origine prothéenne commencera sa construction. En attendant, le commandant Shepard et ses alliés(au nombre de 7 ici, 6 sans DLC) devront réunir des alliés dans toute la galaxie et unifier les races afin de sauver la vie galactique.

Scénaristiquement le jeu est encore une fois une tuerie. L'histoire se prolonge de bien belle manière et reste toujours cohérente et brillante, chaque événement est ressenti avec une grande émotion et les révélations faites sont toujours aussi inattendues. La fin du jeu est également magnifique et surprenante, enfin, les quatre fins pour être exact, et ceux qui s'en sont plaint sont tout simplement des idiots(eh ouais les gars, les choix dans le jeu influencent le déroulement du jeu, pas la fin, ça sert à rien de se taper 30 heures de jeu avec choix juste pour changer une fin de vingt minutes). Ensuite, les personnages restent encore au-dessus de ce qu'on fait habituellement aujourd'hui. Chacun est bien développé même si effectivement James Vega est un peu laissé de côté mais que ce soit Javik, Steve Cortez ou Samantha Traynor tous sont intéressants et plaisants à découvrir. La mise en scène est toujours au top niveau tout cela agrémenté d'une magnifique bande-son qu'on peut qualifier de parfaite et d'une ambiance inégalable. Dans ce troisième opus les choix faits dans les deux autres trouveront tous une conclusion, ainsi il faudra résoudre les différentes crises dont on a tant entendu parler comme le conflit Krogan/Galarien, le conflit Geth/Quarien ou même le conflit Krogan/Rachni. De plus il faudra sans cesse parcourir la Citadelle afin de résoudre les quêtes annexes permettant de récupérer des alliés de toutes races, toutes professions pour venir renforcer notre armée et nos ressources de guerre, qui prennent ici une grande importance puisqu'elles influenceront la fin du jeu. On retrouvera bien évidemment tous les personnages de Mass Effect 1&2 toujours en vie, principalement dans des quêtes secondaires et comme d'habitude, nombreux sont ceux qui pourront mourir si vous ne faites pas attention. Les relations amoureuses trouvent ici une finalité et vous permettent de débloquer de nombreuses séquences drôles et touchantes voire même de pouvoir voir le visage de Tali. Mais ce qui est pour moi la plus grande réussite de ME3 en terme de background et de personnage, c'est le personnage d'IDA. IDA est l'IA du Normandy deuxième version que l'on récupère dans ME2 sauf qu'ici elle trouve enfin une forme physique pour nous accompagner en mission et surtout pour faire progresser sa relation avec Joker. Et tout le long du jeu, celle-ci viendra nous demander conseil afin de devenir plus humaine et de progresser dans le coeur du pilote du vaisseau jusqu'à ce qu'à la fin, elle soit pratiquement une humaine comme les autres. Cette évolution du personnage, que l'on peut refuser dans les dialogues en la rembarrant, reste pour moi la partie la plus travaillée du titre. IDA est un personnage touchant, vrai et qu'on finit vraiment par aduler, c'est sans conteste le meilleur personnage de l'épisode. Enfin bref, je pourrais continuer comme cela encore longtemps mais vous l'aurez compris, Mass Effect 3 surpasse ses ainés pourtant très au-dessus du lot.

Au niveau technique le jeu est exceptionnel, vous l'aurez vu avec les images le travail graphique fourni est impressionnant de détails et de clarté, un véritable chef-d'oeuvre qui pousse à ses limites la console. Le gameplay est quant à lui d'une rare intensité, légèrement en-dessous de celui du 2, il n'en reste pas moins efficace et entraînant et vous procurera de nombreuses sensations que ce soit dans les combats ou en dehors. En terme de durée de vie, comptez environ sur 35-40 heures pour boucler l'intégralité du soft, sachant qu'il faudra faire la saga au moins deux fois, vous en aurez pour votre argent c'est certain. La bande-son elle, est toujours excellente et ne souffre d'aucun défaut.

Bien sûr le jeu n'est pas sans défaut, que ce soit l'IA des ennemis, le personnage de James ou encore le fait qu'il faille obligatoirement joué au jeu en ligne(pas bon) pour obtenir suffisamment de ressources de guerre nécessaires aux meilleures fins tout cela est critiquable. Mais on fait sans problème l'impasse là-dessus au vu des qualités scénaristiques du jeu et de son univers plus généralement. Mass Effect 3 conclut donc avec brio la saga du commandant Shepard et affirme clairement l'oeuvre de BioWare comme maître de la science-fiction dans le jeu vidéo. Si je ne devais vous conseiller qu'une seule oeuvre, ce serait sans conteste la trilogie Mass Effect donc si vous avez une petite hésitation, n'hésitez plus et jouez-y.

Graphismes: 20/20

Gameplay: 18/20

Durée de vie: 19/20

Bande-son: 20/20

Scénario: 20/20

Note finale: 20/20