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Je me suis décidé après une longue pause à reprendre un peu les articles sur les jeux vidéos que j'avais délaissé pour les animes et films d'animations. Pour éviter de passer du temps sur des jeux à deux balles je vais faire un petit package de titres que j'aurais voulu ne jamais essayer.
Castlevania: Circle of the Moon
Développeur: Konami
Editeur: Nintendo
Support: GBA
Date de sortie euro: 22 juin 2001
Genre: Action, Hack'n'slash
Bon autant le dire tout de suite, je déteste les Castlevania donc faut pas s'étonner si j'ai détesté le jeu mais faut reconnaître qu'on fait un jeu avec pas grand chose, toujours le même scénar depuis 20 ans, les mêmes ennemis à deux francs, le même gameplay merdique, non là j'ai vraiment pas tenu sur ce titre.
Graphismes: 9/20
Gameplay: 5/20
Durée de vie: 8/20
Bande-son: 15/20
Scénario: 1/20(ça va de faire 100 fois le même)
Note finale: 5/20
Les Simpson le jeu
Développeur: Electronic Arts
Editeur: Electronic Arts
Support: DS
Date de sortie euro: 2 novembre 2007
Genre: Plates-formes
Euh.... que dire si ce n'est qu'on a ici le pire jeu de plates-formes de la DS, c'est nul, pas marrant, pas jouable, moche et en plus, très court et très facile. Pour le grand fan des Simpson que je suis c'est un crime qu'une merde pareille ait vu le jour.
Graphismes: 8/20
Gameplay: 6/20
Durée de vie: 9/20
Bande-son: 7/20
Scénario: -/20
Note finale: 3/20
Le Monde de Narnia Chapitre 2: le prince Caspian
Développeur: Traveller's Tales
Editeur: Disney Interactive
Support: DS
Date de sortie euro: 19 juin 2008
Genre: RPG
Là on touche le fond... Narnia en RPG nan mais y a rien qui vous choque là, bon mis à part le fait que Narnia sorte en jeu vidéo ce qui est déjà une hérésie...Non plus sérieusement on a ici un mauvais jeu, moche, avec un gameplay aussi creux qu'inutile, une durée de vie des plus basses, une ambiance bien merdique, beaucoup d'incohérences dans le peu de scénar qu'il y a et enfin, une bande-son quasi inexistante.....achetez un autre jeu.
Graphismes: 7/20
Gameplay: 5/20
Durée de vie: 8/20
Bande-son: 2/20
Scénario: 8/20
Note finale: 6/20
Naruto Uzumaki Chronicles
Développeur: Cavia
Editeur: Namco
Support: PS2
Date de sortie euro: 25 mai 2007
Genre: Combat
Encore une fois on frôle l'hérésie, Naruto est un très bon manga alors pourquoi le tacler avec une merde pareille. Déjà l'idée de départ était très mauvaise, un jeu de combat avec un seul personnage c'est débile, encore plus quand c'est tiré d'un manga riche en personnages. Ensuite, un gameplay aussi rigide qu'insipide, faut le dire, ça n'aide pas vraiment à faire marcher son jeu et quand en plus on le couple à une bande-son bien dégueulasse et à un système de jeu plus ennuyeux qu'une émission de Question pour un champion faut pas s'attendre à grand chose. Le verdict est tombé, ce jeu est une merde.
Graphismes: 6/20
Gameplay: 6/20
Durée de vie: 8/20
Bande-son: 6/20
Scénario: 7/20
Note finale: 6/20
Digimon World
Développeur: Bandai
Editeur: Bandai
Support: PS1
Date de sortie euro: 5 juillet 2001
Genre: Aventure, Combat
Beaucoup se souviennent de ce jeu qui a malheureusement marqué la PS1, en mal certes mais c'est tout de même plus que ce qu'il ne mérite. Horriblement laid et injouable, Digimon World grouillait pourtant de bonnes idées. Mais tout est passé à la trappe pour faire un des jeux les plus horribles jamais vu.
Graphismes: 5/20
Gameplay: 4/20
Durée de vie: 12/20
Bande-son: 0/20
Scénario: 9/20
Note finale: 6/20
Sly Raccoon
Développeur: Sucker Punch
Editeur: Sony
Support: PS2
Date de sortie euro: 16 janvier 2003
Genre: Plates-formes
Je sais que les Sly sont généralement très appréciés du grand public et que c'est même une licence phare de Sony mais pour ma part, je trouve ces jeux littéralement gerbant et mauvais en tout. Je ne supporte pas l'univers de Sly Raccoon, l'humour à deux balles, les personnages inutiles et les jeux torchés en deux secondes, donc il mérite la mention "daube".
Graphismes: 14/20
Gameplay: 8/20
Durée de vie: 11/20
Bande-son: 5/20
Scénario: 0/20(voilà l'univers)
Note finale: 7/20
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On enchaîne avec le second film FMA.
Nom Original: Hagane no renkinjutsushi: Milos no seinaru hoshi
Réalisateur: Kazuya Murata
Année de sortie: 2011
Studio: Bones
Genre: Action, Aventure, Fantastique
Durée: 1h50
Le deuxième film FMA est un peu différent du premier; tout d'abord il n'est pas adapté de FMA mais de FMA Brotherhood, la seconde série et est donc ainsi beaucoup plus fidèle à l'univers d'Hiromu Arakawa qui a d'ailleurs pas mal participé, ensuite il propose une aventure inédite entre les chapitres de l'histoire originale et non une suite ce qui est beaucoup moins casse-gueule(voir l'article sur le premier film pour comprendre) et pour finir, seuls quelques personnages connus font une apparition, réduisant ainsi le temps nécessaire à ces derniers et donc, empêchant la figuration inutile.
Elle est trop belle Julia....
Donc je disais que l'histoire se déroulait pendant la deuxième série, en plein milieu de l'aventure des frères Elric. Le colonel Mustang envoie les deux frères à Table City sur les traces d'un criminel évadé, un certain Melvin Voyager. Celui-ci s'est échappé des geôles de Central alors qu'il ne lui restait que quelques jours à purger. Table City se trouve dans les régions de l'Ouest, à la frontière entre Amestris et Creta, une région envahie à plusieurs reprises par les armées des uns et des autres, car elle abriterait un immense secret convoité de tous. Rapidement, Ed et Al se retrouvent embarqués dans une nouvelle et palpitante aventure aux côtés de la belle Julia Crichton, la jeune soeur de Melvin. Voila en gros le topo donc on résume: nouveaux personnages, nouvelles zones, nouvelle histoire, tout pour ne pas s'embourber dans les limites imposées à un film d'anime donc. C'est une bonne solution pour avoir de la liberté mais là c'est trop, beaucoup trop. La série FMA et encore plus FMA Brotherhood compte énormément de personnages; ici on a Ed,Al,Winry et Mustang avec une brève apparition de Hawkeye et Armstrong, voila en gros les persos qu'on retrouve. J'vais résumé rapidement l'intégralité du film, c'est un bon film mais où est Fullmetal Alchemist, aucune allusion aux homonculus, aucune à Lin Yao, aucune à la pierre philosophale, rien au sujet de leur aventure actuelle, bref, on se demande vraiment si c'est bien une adaptation de la série tellement l'équipe créative a pris de liberté.
Le film est bon ça on ne peut que le dire, le scénario est vraiment bien écrit et mis en scène, les nouveaux persos sont travaillés et on craque forcemment pour Julia mais bordel où est la trace de la série originale ? C'est donc encore une adaptation ratée mais ça reste un bon film. Mis à part un rythme un peu longuet et des combats trop rares et vite torchés on aime ce film mais en tant que fan de manga pas en tant que fan de FMA. Une déception donc mais globalement, un bon film qui se laisse regarder
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Note finale: 14/20
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Voici un article un peu différent de d'habitude puisqu'il porte sur un film d'anime et non un film d'animation à savoir le premier film Fullmetal Alchemist.
Nom Original: Gekijouban hagane no renkinjutsushi: Shamballa o yuku mono
Réalisateur: Seiji Mizushima
Année de sortie: 2005
Studio: Bones
Genre: Action, Aventure, Fantastique
Durée: 1h50
Dans le cinéma d'animation japonais on trouve deux types de films: les films d'animation dits "classiques" c'est à dire ceux adaptés d'un roman ou d'un manga de manière très libre ou alors complètement inventés par les scénaristes et qui au final laissent pas mal de liberté à l'équipe créative rendant ainsi le succès atteignable avec du travail et du sérieux; et les films d'animes, c'est à dire ceux qui adaptent un anime en film pour en faire un remake ou une suite, ici l'équipe prend un maximum de risque car les fans n'aiment pas trop qu'on bouscule leur oeuvre favorite. Il faut donc être fidèle à l'oeuvre originale tout en y ajoutant les bons ingrédients et sans changer les normes qui faisaient le succès de l'anime et tout cela sans avoir obligatoirement l'aide du mangaka, pas simple me direz-vous et vous aurez raison, rien de plus casse-gueule que ce genre de film, la plupart se contente d'ailleurs de plaire aux fans hardcores en délaissant les autres car il faut le dire, quand on est fan hardcore, on laisse couler beaucoup de conneries. Ici on a donc un film d'anime qui n'a pas beaucoup bénéficié de la présence d'Hiromu Arakawa, l'auteure du manga Fullmetal Alchemist, bon en même temps puisque la série est très éloignée du manga papier, c'était pas forcement utile(pour ceux qui ne savent pas, la série FMA est très différente de l'oeuvre originale, pour suivre la véritable histoire il faut ou lire le manga, ou regarder FMA Brotherhood). En voyant tout ça on peut donc se dire que le film va se casser la gueule, et bien pas complètement...
En fait le gros défaut du film, c'est qu'il suit la série et tout fan de FMA ne peut que vomir à l'idée de se souvenir de la fin de cette dernière, littéralement torchée en trois minutes avec à peine assez d'explications pour éviter d'être accusé d'arnaque. Le film part donc mal dès le début, cependant il faut reconnaître que FMA est une très grande série et donc rien n'empêche un rattrapage efficace et c'est en partie fait ici. Je ne ferais pas de gros résumé du film puisque ce serait dévoiler la fin de la série et donc spoiler un max, donc en gros: Alphonse veut retrouver son frère, il va se baser sur des renseignements un peu donnés à la va-vite et aller dans un lieu mystique avec Wrath et puis voila. Le film étant tellement lié à la série qu'il est difficile d'en faire un résumé sans spoiler et en général, je déteste spoiler donc je m'arrête là.
Quoiqu'il en soit on est vite pris par l'action qui est toujours aussi géniale, le scénario également assez bien mis en scène et surtout, on est hyper content de retrouver la plupart des personnages importants de la série. Mais il faut dire ce qui est, la plupart font de la figuration ou apparaissent histoire de dire qu'ils sont encore en vie, pour certains ça passe mais pour d'autres comme Armstrong ou Winry c'est carrément pas possible. De plus, l'histoire est très prévisible et le charisme des méchants manque tellement qu'on finit par ne plus s'en soucier, adieu les Scar, Greed ou Envy et bonjour machin, truc et l'autre qu'on voit pas beaucoup... Mais bon je caricature un peu, globalement le film passe bien et tous les fans s'y retrouveront avec un certain plaisir et puis arrive......la fin encore cette putain de fin à deux balles et là elle est encore pire que dans la série originale donc on finit déçu du film qui au final ne tient en rien ses promesses de bombe atomique de l'année 2005.
Niveau technique tout est bon, il n'y a aucun problème c'est du même niveau que la série(quoique la bande-son n'est pas terrible) mais la gestion des personnages, le scénario trop longuet, les méchants dont j'arrive même pas à me souvenir de la tronche et la fin ont de quoi vous faire rager. Un film qui se regarde mais qui n'est pas bon, encore un film d'anime raté même si j'exagère un petit peu, c'est au dessus de la moyenne et sans doute le plus réussi des films d'anime ratés. Je suis donc très déçu et en même temps absolument pas surpris.
Bon au moins ces deux là s'avouent leurs sentiments....mais ça va servir à rien
Note finale: 12/20
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On enchaîne avec un second film City Hunter.
Nom Original: City Hunter: Goodbye my sweetheart
Réalisateur: Kazuo Yamazaki
Année de sortie: 1997
Studio: Sunrise
Genre: Action, Comédie
Durée: 1h30
Voici le moins bon film City Hunter que j'ai pu voir, certes la bande-son n'a jamais été aussi bonne et les doublages restent très corrects mais le scénario est sans doute le pire que j'ai pu voir.
Ryo Saeba, aussi connu sous le nom de City Hunter, et son associée Kaori Makimura sont contactés par une jeune vedette de la scène populaire, Emi Makase, qui souhaite retrouver son frère, disparu depuis presque treize ans. Pendant ce temps, la police japonaise est sur les traces d'un dangereux terroriste impliqué dans de nombreux crimes, allant du vol au meurtre. Cet homme mystérieux, ancien légionnaire, est surnommé le Professeur. Il est arrivé au Japon dans un but inconnu et se trouve rapidement sur le chemin de City Hunter et Umibozu. Une course contre la montre mortelle est sur le point de débuter...
Voila en gros, c'est un scénario assez sympa comme d'habitude mais c'est au niveau des personnages que ça coince, non seulement Emi est hyper banale mais en plus Kaori atteint un degré de connerie étonnant et le Professeur est juste le pire méchant de l'histoire. Hormis tout ça c'est du City Hunter banal, sympa et drôle et bénéficiant de très jolis dessins. Bref, ça reste un super divertissement mais on ne peut qu'être déçu après avoir vu La mort de City Hunter.
Note finale: 14/20
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Voici maintenant un des nombreux films City Hunter, où notre héros Ryo revient encore plus en forme que jamais.
Nom Original: City Hunter: kinkyû chûkei ? Kyôaku han Saeba Ryô no saigo
Réalisateur: Masaharu Okuwaki
Année de sortie: 1999
Studio: YTV, Sunrise, NTV Music
Genre: Action, Comédie
Durée: 1h30
Voici donc un des films de la série City Hunter adaptée du manga de Tsukasa Hojo où l'on retrouve évidemment Ryo Saeba(ou Nicky Larson) et ses comparses dans une aventure toujours aussi dingue et rythmée avec des doublages réussis et les noms originaux qui sont donnés aux personnages et ça, c'est suffisamment rare et étonnant pour être souligné. Un petit synopsis maintenant:
Après quatre longs mois d'inactivité, Ryo et Kaori décrochent enfin un nouveau contrat. Ils sont embauchés par la très jolie Sayaka Asagari, présentatrice vedette de l'émission Mega City News. Ryo ne peut évidemment pas résister à la tentation d'assurer la protection de la jeune femme qui court un très grand danger après avoir été témoin de l'assassinat de Jack Douglas, le directeur de la chaîne Mega City TV, par son bras droit. Sayaka, qui porte une bague empoisonnée ne peut ni fuir ni avertir les autorités. Pour sauver la belle, Ryo se lance à corps perdu dans la bataille face au roi des médias. Toutefois il se rendra vite compte que les apparences peuvent s'avérer trompeuses et que celui qui peut manipuler l'information n'a pas forcément besoin d'une arme pour tuer. C'est donc un scénario classique mais encore une fois réussi que l'on retrouve dans City Hunter. C'est au moins prétexte à des scènes d'action nombreuses et grandioses et à des gags bien funs signés Ryo Saeba. Les fans de la série ne seront donc pas dépaysés et ils ne pourront alors qu'adorer ce film. On retrouve les personnages bien connus, la même géniale bande-son que dans la série et des dessins affinés et plus détaillés.
Je n'ai plus grand chose d'autre à dire, c'est un bon délire comme la série et donc, un moyen de s'éclater pendant 1h30.
Note finale: 18/20
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