• En toute logique on termine la semaine avec la dernière série d'OAV de Tales of Symphonia qui s'est faite attendre.

    Tales of Symphonia : The United World

    Nom Original : Tales of Symphonia the Animation : Sekai tougou hen

    Auteur : Namco, Bandai

    Années de production : 2011

    Catégorie : Shônen

    Genre : Action, Fantastique, Aventure, Comédie

    Studio : Ufotable

    Durée : 3 OAV de 40 minutes

    Tales of Symphonia : The United World

    Désormais prisonnière d'Yggdrasil en vue de servir de corps de substitution à Martel Colette ne peut plus compter que sur Lloyd et ses amis pour la sauver. Tales of Symphonia : The United World résume donc comme vous vous en doutez la dernière partie du jeu qui débute après l'enlèvement de la jeune fille par le traître du groupe d'amis et qui se termine après le sauvetage des deux mondes. Très réussis ces OAV recréent parfaitement l'ambiance exceptionnelle du dernier tiers du jeu original. C'est intense, fort et dynamique comme jamais. A n'en pas douter ces trois épisodes sont les meilleurs. Bien évidemment il faudra encore souffrir quelques coupures mal placées mais c'est tout de même beaucoup plus supportable que dans la deuxième série d'OAV, merci Ufotable d'avoir repris en main la licence. Quoiqu'il en soit si vous aimez Tales of Symphonia le jeu ou si vous avez apprécié les OAV précédents vous devriez être conquis avec The United World.

    Tales of Symphonia : The United World

    Afin de marquer les esprits avant de tirer sa révérence la licence s'est également vue retravaillée sur le plan technique. Si la bande-son est toujours d'aussi bonne qualité c'est surtout au niveau de l'animation que les changements ont été faits. C'est non seulement magnifique mais aussi beaucoup plus orienté action, avec des affrontements aussi techniques que dans le jeu et encore plus fluide qu'auparavant. C'est une merveille visuelle. Tales of Symphonia : The United World clôt donc en beauté la dernière partie du hit de Namco et donne même envie d'en voir plus. Malheureusement l'histoire de Lloyd est terminée et il faudra plutôt s'orienter vers les adaptations des autres jeux pour retrouver toute la magie Tales of. Voilà qui termine l'article du jour, je vous laisse donc et nous nous retrouvons demain pour la reprise des meilleurs travailleurs de l'animation puis des meilleurs studios d'animation.

    Edit : ah non en fait c'est d'abord le studio puis le génie de l'animation.

    Tales of Symphonia : The United World

    Note finale : 16/20

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  • On se retrouve aujourd'hui pour aborder la deuxième série d'OAV adaptée du jeu Tales of Symphonia.

    Tales of Symphonia : Tessaha'Ila Part

    Nom Original : Tales of Symphonia the Animation : Tethe'alla hen

    Auteur : Bandai, Namco

    Années de production : 2009-2011

    Catégorie : Shônen

    Genre : Aventure, Action, Fantastique, Comédie

    Studio : Frontier Works

    Durée : 4 OAV de 30 minutes + 4 spéciaux de 7 minutes

    Tales of Symphonia : Tessaha'Ila Part

    Après avoir terminé le jeu et la première série d'OAV, franchement réussie, j'ai donc visionné la suite reprenant le deuxième tiers du jeu se déroulant dans le monde de Tessaha'Ila, le monde de Sheena. C'est dans cette partie que l'histoire se lance réellement, on fait la rencontre des trois derniers membres du groupe que sont Zelos Wylder, Préséa Combattir et Regal Bryant mais on découvre également les véritables ennemis de Lloyd et leurs intentions. Tous les personnages gagnent énormément en intensité, les relations deviennent plus fortes que jamais et les meilleurs affrontements sont de la partie. Qu'en est-il donc ici ? Eh bien je dois avouer que je suis quand même pas mal déçu. Comme la première série d'OAV celle-ci est forcément raccourcie du fait du peu de temps accordé pour décrire l'histoire du jeu mais là où les coupures étaient assez critiquables dans la première série, ici elles sont carrément stupides et mal maîtrisées rendant l'histoire trop clichée et peu entraînante. Le premier épisode sert d'introduction au monde de Tesseha'Ila et au personnage de Zelos Wylder. C'est assez réussi et fidèle au jeu, j'ai aimé. Le deuxième épisode est par contre facteur de mécontentement. Ce dernier se concentre sur l'histoire des deux derniers protagonistes : Regal et Préséa. Leur histoire et leur développement sont quasiment absent, les faits ont été modifiés, les révélations également et à terme, on finit simplement par n'en avoir rien à péter de ces personnages. Ce qui est assez crétin au final, c'est que les deux personnages à avoir une histoire hyper courte et très simpliste sont ceux qui les voient raccourcies et simplifiées... Pourquoi ? Déjà que dans le jeu ils ont du mal à se faire une place alors à quoi ça peut servir de leur enlever de l'importance et du crédit ? Et c'est comme ça pour chaque choix opéré par l'équipe créative. A se demander s'ils connaissent le jeu. Enfin ça n'est pas catastrophique dans le sens ou c'est tout à fait regardable et même plutôt sympathique pour les néophytes, mais les connaisseurs de l'univers ne pourront qu'être déçus. Fort heureusement le troisième épisode centré sur le passé de Sheena et le quatrième qui clôt magistralement la série remonteront le niveau. Mais ça n'efface pourtant pas les problèmes de rythme imposés par les choix scénaristiques du studio.

    Tales of Symphonia : Tessaha'Ila Part

    Au niveau technique c'est à peu près du même niveau que la première série, c'est beau, plutôt fluide et ambiancé par une superbe bande-son et des doublages de grande qualité. Certes l'animation durant les affrontements peut déstabiliser mais ça reste d'un niveau honorable sans toutefois atteindre les sommets. Il n'y a donc pas grand chose à redire sur le travail technique. Tales of Symphonia partie 2 est donc à mes yeux une adaptation moyennement réussie du jeu vidéo, une adaptation qui subit trop de changements inutiles et de coupures mal placées et qui en conséquence souffre de ruptures plutôt gênantes dans le rythme. La série devrait facilement convenir aux néophytes ayant découvert Tales of Symphonia par le biais des premiers OAV mais laissera un goût d'amertume dans la bouche des fans de la première heure sans toutefois leur ôter un certain plaisir de visionnage.

    Tales of Symphonia : Tessaha'Ila Part

    Note finale : 13/20

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  • Retour dans la section "animes" pour aujourd'hui et jusqu'à la fin de la semaine avec pour commencer Witch Hunter Robin.

    Witch Hunter Robin

    Nom Original : Witch Hunter Robin

    Auteur : Sunrise, Aya Yoshinaga, Shukou Murase

    Années de production : 2002

    Catégorie : Shônen

    Genre : Action, Fantastique

    Studio : Sunrise

    Durée : 26 épisodes de 22 minutes

    Witch Hunter Robin

    Gros projet de l'année 2002 pour le studio Sunrise Witch Hunter Robin est un anime d'action situé dans un univers futuriste et fantastique dans lequel vivent des êtres humains doués de pouvoirs magiques. Descendants des sorcières longtemps traquées et discriminées ces êtres surdoués sont considérés comme une menace et leur existence est cachée au grand public. Une organisation européenne, Salomon, se charge de chasser les "witches" et de les tuer prétextant agir pour le bien de la planète. Sa branche japonaise elle décide au contraire de ne pas éliminer les witches mais les envoie dans un lieu mystérieux appelé "l'Usine" où elles sont traitées. C'est dans cette branche que se déroule l'histoire de Witch Hunter Robin. Récemment amputée d'une membre, l'unité de hunters du STN-J(comprenez la branche japonaise de Salomon) attend son nouvel agent, une élite initiée au Craft(la magie) et aux capacités hors normes. Cependant, lorsqu'elle arrive sur les lieux, la remplaçante surprend son monde. Robin Sena est en effet âgée de quinze ans, est frêle et semble impressionnable et très discrète. Japonaise élevée en Italie par un prêtre, Robin fait ses débuts en tant que chasseur au STN et espère rapidement progresser. Mais c'était sans compter la présence d'Amon, le chef des hunters du STN-J qui semble la détester dès son arrivée. Vite acceptée par le hacker Michael, la fainéante Doujima, le casse-cou Sakaki et l'expérimentée Miho Robin va cependant toujours rencontrer un mur en parlant avec Amon. Entre chasses, conflits internes et recherches de ses origines la jeune fille va vite mûrir et prendre ses propres décisions.

    Witch Hunter Robin

    Alors que dire ? Witch Hunter Robin est un immense gâchis. L'anime démarre sur de bonnes bases, le scénario est plutôt sympa à défaut d'être incroyablement original, les personnages bien que stéréotypés sont attachants et efficaces, la bande-son met bien dans l'ambiance et Robin semble être une excellente héroïne mais malheureusement, tout cela ne dure pas. Ou plutôt si ça dure et ça dure et ça dure et bordel de merde je crois que j'ai pris trois ans en regardant cet anime. C'est pas possible de faire vingt-six épisodes avec quelque chose d'aussi léger ! Le scénario n'est pas folichon, il ne l'est jamais mais pourtant il peut nous occuper un petit moment et divertir suffisamment pour qu'on en garde un bon souvenir. C'est léger et déjà vu mais pour une douzaine d'épisodes ça peut faire l'affaire...mais l'anime dure 26 épisodes. Par conséquent c'est d'une lenteur millénaire. Au lieu de développer l'univers ou même de mettre un tas de conneries pour occuper le spectateur la Sunrise a préféré être honnête et dire au monde entier qu'elle n'avait quasiment rien de plus à dire que ce que dévoile le synopsis. J'apprécie le comportement mais là, faut pas déconner. On se fait chier(et très bien chier) pendant 3/4 de l'anime du fait du rythme hyper lent et du coup, et c'est logique, les moments qui pourraient être sympa ne présentent plus aucun intérêt. C'est mou, lent et chiant comme la mort. Quand j'ai vu à quoi ressemblait l'oeuvre j'ai décidé de noter les épisodes intéressants donc voici ce que ça donne : 1,2,3,4,12,18,19,21,26(juste pour connaitre la fin, en fait il est chiant aussi). Si en plus on précise que l'anime n'est pas très beau et que l'animation surtout dans les combats est à la ramasse on perd les dernières miettes d'intérêt qui se dégageaient de l'anime. Qu'on se le dise bien, Witch Hunter Robin est une perte de temps et c'est vraiment dommage car les quatre premiers épisodes sont super sympas et au vu du synopsis et de l'héroïne, il y avait vraiment de quoi faire un bon anime, pas quelque chose qui reste mais au moins qui divertit avant de disparaitre dans l'oubli. Là rien, c'est dommage et c'est un échec de la Sunrise qui produit un anime mou, ni pourri ni intéressant qu'il faut regarder à petite dose(un épisode par mois est un bon rythme si on veut aller jusqu'au bout sans se lasser).

    Witch Hunter Robin

    Note finale : 09/20

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  • Dernier article du jour voici un anime sensationnel et très récent qui fait les beaux jours des fans de mangas matures : Parasite.

    Parasite

    Nom Original : Kiseijuu : Sei no Kakuritsu

    Auteur : Hitoshi Iwaaki

    Années de production : 2014-2015

    Catégorie : Seinen

    Genre : Horreur, Science-fiction, Drame

    Studio : Madhouse Production

    Durée : 24 épisodes de 22 minutes

    Parasite

    Attention cet anime est déconseillé à un public âgé de moins de douze ans du fait de scènes de violence assez prononcée.

    Oeuvre particulière et dérangeante signée Hitoshi Iwaaki, Parasite est prépubliée dans divers magazines de la Kodansha entre 1988 et 1994. Publié en 10 volumes reliés par la suite le manga est vite devenu une référence du milieu de l'horreur et de la SF et a fait son arrivée chez nous entre novembre 2002 et août 2004 aux éditions Glénat. Ce n'est que très récemment que l'auteur, la Kodansha et le studio Madhouse ont décidé de produire une série animée. Celle-ci fait son apparition en octobre 2014 sur les écrans nippons et se poursuit jusqu'au 25 mars 2015. Elle est également complétée de deux films live. Parasite l'anime est un carton. C'est même L'Anime de ce début d'année et l'un des sujets de discussion favoris des forums. Maintenant que les bases sont posées, partons pour cet univers glauque et dérangeant.

    Parasite

    Une nuit, des sphères de la taille d'une balle de tennis tombent du ciel. Réparties dans tous les pays du monde, celles-ci contiennent des petits parasites aux origines troubles dont le seul but est de s'infiltrer dans les corps vivants afin de prendre possession du cerveau de leur hôte. Leur cible favorite : les êtres humains. C'est pendant cette nuit que Shin'ichi Izumi, un lycéen timide et banal se fait attaquer. Le jeune homme à la chance de se réveiller après que le parasite soit entré dans son nez et éternue. Mais loin de se laisser faire, la petite chose l'attaque. Il la pare avec sa main droite mais le parasite pénètre en elle. Shin'ichi n'a alors d'autre choix que de se faire un garrot et bloquer la circulation du sang. Quelques heures après tout redevient calme et le jeune homme, inquiet et ridiculisé aux yeux de ses parents qu'il a réveillé reprend sa vie. Mais dans les jours qui suivent deux choses inquiétantes se produisent. De un, il n'arrive plus à correctement contrôler sa main droite qu'il sent difficilement depuis la nuit de l'attaque. De deux des restes de corps humains sont retrouvés partout dans le monde et la police n'a aucun moyen d'identifier le criminel. Inquiet, Shin'ichi ne sait plus quoi faire, il ne peut parler du parasite sans passer pour fou. Pire encore, après quelques temps le parasite refait son apparition à l'intérieur même de sa main droite. En effet un matin, Shin'ichi se réveille et constate que sa main droite n'est plus une main mais une créature étrange pouvant changer de forme comme elle l'entend. Cette créature a passé la nuit à lire et à apprendre et parle désormais couramment le Japonais. Celle-ci se présente au jeune homme et le félicite de l'avoir bloqué, elle est désormais prisonnière de sa main droite et ne peut plus toucher son cerveau. Conscient de son hôte à la différence des autres humains possédés, Shin'ichi va devoir apprendre à vivre avec celle qu'il a surnommé Migi. Cependant les meurtres récents vont de plus en plus le travailler et un jour, en rentrant du lycée il va se faire attaquer par un chien possédé que Migi va facilement tuer en transformant la main droite du jeune homme en lame. Le parasite, qui ignore tout de son origine et de son but, va informer Shin'ichi qu'aux yeux des autres parasites ils sont un danger car ils cohabitent et sont la preuve du maintien de la conscience du lycéen. Pris pour cible par d'autres parasites, Shin'ichi va tout faire pour protéger les siens à commencer par ses parents dont il est très proche et Satomi Murano, sa meilleure amie. Mais vivre avec l'insensible voire même le cruel Migi ne sera pas de tout repos et la mort sera régulièrement invitée dans les lieux visités par Shin'ichi.

    Parasite

    A n'en pas douter Parasite envoie du bois. Le scénario est génial et l'univers super glauque et dérangeant. C'est une vraie réussite en terme d'ambiance, une réussite en partie dû à une bande-son de génie. Très sincèrement il mérite largement sa réputation d'anime du début 2015. Parfois un peu trop "shônen" avec beaucoup de deus ex machina(éléments imprévisibles intervenants pour résoudre une situation a priori insoluble) l'anime se présente pourtant comme un seinen mature, philosophique et intelligemment écrit qui remet en cause les lois humaines et la vision du monde que l'Homme semble avoir imposé. Un peu plus orienté action que le manga original, l'anime montre clairement qu'il en a repris l'esprit ainsi que les messages moraux. C'est fin et malin . Mention spéciale aux personnages remarquables et attachants qui reflètent parfaitement la complétion/opposition entre humains et parasites, ils illustrent parfaitement le message de l'auteur et sont super charismatiques. J'ai toutefois fortement regretté la fin de l'anime, relativement inexplicable et presque en opposition avec le message central de l'oeuvre. Ce n'est pas monstrueux mais j'ai vraiment du mal à comprendre le but de tout ceci. Autre petit problème, l'anime aurait gagné à être plus court de trois ou quatre épisodes, là c'est parfois longuet. Mais dans l'ensemble j'ai adoré cet anime violent, mature et brillamment mis en scène qui à mes yeux se situe dans la lignée des Shingeki no Kyojin, Black Bullet ou encore Shi Ki. C'est une belle découverte parfois dramatique, parfois comique mais toujours oppressante qui nous montre une nouvelle vision du monde. Un must see à n'en pas douter. N'attendez plus, jetez vous dessus.

    Parasite

    Note finale : 18/20

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  • Je vais terminer la journée avec un dernier article qui portera cette fois-ci sur un OAV peu connu : Twilight of the Dark Master.

    Twilight of the Dark Master

    Nom Original : Shihaisha no Tasogare

    Auteur : Saki Okuse

    Années de production : 1998

    Catégorie : Shônen

    Genre : Action, Horreur

    Studio : Madhouse Production

    Durée : 1 OAV de 50 minutes

    Twilight of the Dark Master

    Il y a longtemps vivait la Grande Génitrice, mère de toute chose. Celle-ci créa l'Homme mais en constatant sa nature vil et cruel, elle décida de le placer sous l'autorité et la surveillance des Maîtres-Démons, des créatures sages et puissantes. Rapidement un déséquilibre vint frapper les deux races et les Maîtres-Démons, conscients de leur supériorité en profitèrent. Pour rétablir le juste équilibre naturel, la Grande Génitrice acheva sa création en mettant au monde les Gardiens, pendants bénéfiques des Maîtres-Démons. En 2033, Shizuku et Eiji vivent le parfait amour à Tokyo jusqu'à ce qu'Eiji, sous l'emprise d'une drogue, se transforme en monstre et attaque sa compagne. Détruite physiquement et émotionnellement Shizuku se décide une fois les choses passées à contacter un homme mystérieux que les rumeurs disent invulnérable afin de chasser le monstre qui était autrefois celui qu'elle aimait. Shijo Tsunami, Gardien de la mégalopole, voit en ces actes un retour en force des Maîtres-Démons. Il accepte de retrouver Eiji pour découvrir la vérité. Commence alors une traque qui va aller dans les deux sens.

    Twilight of the Dark Master

    Incroyablement classique pour ne pas dire banal voire même carrément chiant le scénario de Twilight of the Dark Master ne crève pas le plafond. J'ignore ce que vaut le manga original mais je ne crois pas qu'une adaptation était véritablement utile. L'univers a certes un aspect original assez intéressant mais ça s'arrête là. Les seules qualités réelles de l'OAV viennent du talent de Madhouse qui nous offre des combats de grande qualité, un aspect visuel magnifique et un chara-design impressionnant. Pour le reste c'est moyen voire médiocre. Le scénario est chiant à mourir et la mise en scène n'est nullement inspirée, chose assez rare venant de ce prestigieux studio. Par conséquent je ne vous recommande pas cet OAV qui sans être la pire bouse du siècle ne présente strictement aucun intérêt à être découvert. On peut facilement faire mieux en cinquante minutes. Dommage donc d'autant que la technique comme l'animation étaient franchement réussies.

    Twilight of the Dark Master

    Note finale : 08/20

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