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Par Zerias le 22 Octobre 2014 à 19:05
On reste dans la comédie aujourd'hui avec Moetan, un magical girl pas comme les autres.
Nom Original: Moetan
Auteur: SansaiBooks
Années de production: 2007
Catégorie: Shôjo
Genre: Comédie, Magical Girl, Fantastique, Ecchi
Studio: Actus
Durée: 11 épisodes de 22 minutes + 4 spéciaux de 22 minutes
Toujours pas fan des magical girl, j'ai tout de même tenté le coup avec cet anime qui semblait a priori différent. Initialement, Moetan est une série de livres écrits et publiés par SansaiBooks visant la communauté des otakus. Il s'agit en réalité de livres d'anglais qui utilisent pour apprendre la langue de Shakespeare aux otakus des termes issus des animes, des jeux vidéo etc... C'est donc assez surprenant à première vue de voir que ça a débouché sur un anime mais après tout, pourquoi pas. Moetan débute lorsque Arc, un grand mage d'un monde inconnu, est condamné pour un crime qu'il prétend ne pas avoir commis. Il est transformé en canard puis envoyé dans le monde des humains pour faire le bien en guise de châtiment. Il rencontre alors Ink Nijihara, une lycéenne que tout le monde prend pour une élève de primaire tant elle fait gamine. Une fois le choc passé, il lui propose d'hériter de ses pouvoirs pour faire le bien autour d'elle et sauver la population. Voyant là une occasion unique de montrer qu'elle est une adulte Ink accepte et se transforme alors en Pastel Ink, son alter ego magicienne. Amoureuse de Nao Tezuka, un camarade de classe mauvais en anglais, Ink se propose, sous la forme de Pastel Ink de lui donner des cours du soir puisqu'elle est douée à l'école. Un peu étonné de voir cette folle en cosplay dans la rue, Nao hésite. Il accepte finalement et les deux jeunes gens se voient régulièrement pour travailler ensemble. Mais conquérir le coeur du jeune homme, encore plus sous une fausse identité, ne va pas être aisé pour Ink qui va en plus devoir faire face à sa rivale, elle aussi amoureuse de Nao.
Très kawai, la série d'Actus démarre vraiment bien. Les personnages sont très attachants notamment Ink, la qualité visuelle est au rendez-vous et l'humour omniprésent. On craint un peu de ne jamais voir le début d'un scénario mais l'humour réussit à nous le faire oublier...pendant un moment. Enfin, il y a bien un scénario mais il est vraiment très mauvais. Ce n'est pas ce qui nous retiendra, de toutes façons il démarre bien trop tard pour être intéressant. Donc comme beaucoup d'oeuvres comiques on se contente des blagues et des passages comiques. Si dans l'ensemble c'est très drôle j'ai tout de même une grosse réserve sur certains passages. Ink est volontairement dessinée comme une gamine de primaire pour nous attendrir, créer une attache entre elle et le spectateur, ça je le conçoit bien même si cette technique est un peu datée. Par contre ce qui est dérangeant ce sont les vannes orientées ecchi. Je veux bien qu'on rigole mais des vannes qui frôlent la perversion ne doivent en aucun cas toucher un personnage qui fait irrémédiablement penser à une enfant. Honnêtement deux ou trois scènes de l'anime sont très très limites. Cela choque et en plus l'ambiance est plombée. Donc attention à ce niveau là, ce n'est pas fait méchamment on s'en rend bien compte mais cela tient de la grosse maladresse et du manque de sérieux concernant l'écriture. En dehors de cela Moetan est une comédie plutôt sympathique qui peine à nous entraîner dans son univers mais qui saura nous réserver quelques moments de rires et c'est tout ce qu'on lui demande. Une oeuvre plutôt bonne qui aurait mérité un véritable travail scénaristique.
Note finale : 14/20
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Par Zerias le 21 Octobre 2014 à 18:50
Dans un registre un peu moins violent que ces derniers jours voici Nagasarete Airantou, un anime que m'a conseillé Kawakai.
Nom Original: Nagasarete Airantou
Auteur: Takeshi Fujushiro
Années de production: 2007
Catégorie: Shônen
Genre: Comédie, Romance, Fantastique
Studio: Feel, Starchild Records
Durée: 26 épisodes de 22 minutes
Adapté du manga de Takeshi Fujishiro débuté en 2004 et achevé 2007 après dix-sept volumes l'anime Nagasarete Airantou est une comédie déjantée et loufoque qui pourrait bien vous surprendre. On y suit l'histoire d'Ikuto Tohoin, un jeune japonais en conflit avec son père et qui décide de quitter la maison familiale. Il s'embarque alors sur un paquebot mais passe par-dessus bord lors d'une tempête. Se croyant perdu, il sombre dans les tréfonds de l'océan. A quelques kilomètres de là sur l'île d'Airantou, une île perdue entièrement composée de femmes depuis une tempête dix ans plus tôt, une jeune fille du nom de Suzu pêche son déjeuner. Croyant trouver un gros poisson elle lutte une dernière fois avant de partir. Mais sa prise est légèrement différente de ce qu'elle croyait puisqu'il s'agit d'Ikuto. Paniquée et incertaine, elle cause plus de dommage qu'autre chose au jeune homme en essayant de le secourir. Fort heureusement la doyenne de l'île sait comment soigner le nouveau venu. A son réveil, Ikuto rencontre alors sa sauveuse ainsi que la doyenne. Mais dans l'ombre rôde une menace terrible qu'on appelle les femmes ! En effet étant le seul homme de l'île Ikuto sera la cible des nombreuses femmes de l'île toutes plus folles les unes que les autres. Il trouvera alors refuge chez Suzu qui deviendra sa partenaire et amie. Perdu, il devra pourtant apprendre à vivre sur cette île où poussent des légumes géants, où parlent les animaux et où les femmes sont la plus terrible menace.
Très comique et franchement drôle, Nagasarete Airantou est un anime décalé qui fait du bien quand on voit les autres oeuvres du genre. Au vu du synopsis bien lourdingue on pouvait s'attendre à un truc bien pervers et donc, un énième anime ecchi eh bien non ! Même si évidemment la tension sexuelle est cause de nombreuses scènes comiques c'est très bien géré et cela reste toujours dans la comédie pure et non dans l'érotico-comique. L'anime est donc vraiment tout public et ça j'apprécie(j'aime bien aussi le ecchi mais faut arrêter de faire tout le temps la même chose sous prétexte que chez les autres, ça marche). En plus de ce côté décalé assumé on appréciera les personnages très kawai et attachants et tout particulièrement Suzu. Leur tronche est souvent hilarante et la manière dont l'équipe créative les dessine merveilleusement adaptée à l'ambiance du titre. Pour tout ça, Nagasarete Airantou est réussit. Cependant tout n'est pas rose. En effet le scénario est littéralement inexistant et si le côté loufoque plait pendant un temps, il finit par devenir presque insupportable vers la fin. C'est sympathique de vivre des aventures courtes et intenses aux côtés des personnages mais à la longue on veut un fil directeur, quelque chose qui donne un enjeu à l'histoire(exactement comme dans DmC ou Louie the Rune Soldier). Malheureusement rien ne vient et ce n'est pas la fin ultra clichée qui va remonter le niveau. Dommage donc car en dehors de cet aspect l'anime est excellent. La meilleure solution serait de ne regarder qu'un ou deux épisodes par semaine, cela pourrait permettre d'éviter cette lassitude même si un anime ne devrait jamais nous imposer un rythme.
Techniquement c'est également un mélange de positif et de négatif. Il faut le dire, ce n'est pas beau. Pourtant le chara-design et certains plans larges sont vraiment géniaux et s'implémentent parfaitement à l'univers donnant un côté réaliste plutôt convaincant. On se doute également que l'image n'est pas trop travaillée afin de rendre certaines scènes comiques plus compréhensibles mais encore une fois, il y avait d'autres moyens plus efficaces de faire. Là ce n'est qu'une hypothèse comme pourrait l'être la fainéantise ou le manque de moyen. L'animation quant à elle accomplit son rôle comme il le faut, sans plus sans moins. Rien d'extraordinaire, c'est même assez moyen mais pour le coup, on en demandait pas plus. Mitigée également, la bande-son fournit de très bons doublages à défaut d'une belle musique. C'est convenable donc. Pour conclure, Nagasarete Airantou est une belle découverte même si l'anime est très loin de la perfection. Pour passer le temps c'est excellent et les nombreuses scènes comiques d'anthologie devraient facilement satisfaire la majeure partie du public. C'est donc un bon travail même si un scénario n'aurait pas été de trop, aussi léger qu'il aurait pu être.
Note finale : 15/20
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Par Zerias le 19 Octobre 2014 à 18:31
Maintenant que les articles un peu inintéressants ont été faits, on passe à des sujets nettement plus captivants à commencer par Mnemosyne.
Nom Original: Mnemosyne : Mnemosyne no musume-tachi
Auteur: Hiroshi Ohnogi, Chuo Higashigushi
Années de production: 2008
Catégorie: Seinen
Genre: Action, Science-fiction, Horreur
Studio: Xebec, Genco
Durée: 6 OAV de 45 minutes
Bon avant qu'on commence sérieusement je préfère prévenir, Mnemosyne est un anime réservé à un public de plus de seize ans, on y voit des scènes de torture, de barbarie et de violence ainsi que pas mal de scènes érotiques qui en font un anime pour personnes matures. Voila. Donc Mnemosyne est un light novel japonais débuté en 2008, écrit par Hiroshi Ohgi et dessiné par Chuo Higashigushi. Fort de son succès, le petit bijou du duo japonais a rapidement été adapté en anime et c'est ce dernier que je vous présente aujourd'hui. On y suit l'histoire d'Asogi Rin, une détective privée de Shinjuku et de son assistante Mimi, sa maîtresse et meilleure amie. Pourchassée par un assassin en raison de son mystérieux passé, Rin doit constamment fuir ces ombres maléfiques qui la traquent. Mais dès le début de l'histoire, Rin est coincée par le tueur et réduite en charpie. Ce n'est que sa première mort de la série. En effet Rin est immortelle depuis son ingestion d'une particule d'Yggdrasil, l'arbre-monde au coeur de la Terre. Mais elle n'est pas la seule, en effet plusieurs femmes de par le monde ont pu accéder à ce statut divin souvent sans faire exprès. Mais étrangement, elles semblent pourchassées par leurs équivalents masculins, beaucoup moins doux et humains. Pour quelles raisons ? Il faudra le découvrir en regardant l'anime. Toujours est-il qu'on suit Rin dans plusieurs enquêtes, certaines liées au scénario principal d'autres non où elle croisera notamment Koki Maeno, son futur assistant. Durant l'arc temporel qui composera l'histoire de Rin(de 1990 à 2055), le spectateur sera plongé dans un univers glauque, mystérieux, oppressant et terriblement métaphorique mais néanmoins passionnant.
Incroyablement riche et complexe, l'univers de Mnemosyne est l'un des meilleurs que j'ai pu voir. L'histoire est extrêmement difficile à comprendre et se base beaucoup sur la religion, la philosophie ou encore la science mais le résultat final est grandiose. Relativement proche de Kara no Kyoukai dans l'ambiance, Mnemosyne s'adresse pourtant à une tranche d'âge supérieure. Si suivre l'histoire de Rin et de son cabinet est vraiment quelque chose d'attrayant et d'unique il ne faut pas pour autant mettre n'importe qui devant la série. Les scènes de torture sont d'une grande violence et l'immortalité des personnages sert parfois de prétexte à une mort ultra violente donc prudence. De même de nombreuses scènes érotiques(lesbiennes pour 99% d'entre elles) jalonnent l'anime, mais en un sens c'est aussi ce qui fait la force de Mnemosyne. En effet aucun acte violent, aucune scène de sexe, aucun dialogue cru n'est là par hasard. Tout a une correspondance dans le scénario et tôt ou tard, chaque acte aboutit à quelque chose d'utile. C'est pour cela que j'ai aussi bien toléré le côté hard de l'oeuvre, c'est tellement logique au fond que ces scènes deviennent indispensables. Pour ce gros travail de mise en scène et d'écriture une seule chose à dire : bravo.
On nous plonge donc clairement dans une oeuvre peu accessible mais terriblement travaillée. Rien que cet aspect devrait conquérir le public. Mais on peut fort heureusement compter sur des personnages de haute volée à commencer par Rin, vraiment attachante et irrésistiblement attirante derrière tous ses mystères. En somme un personnage sur lequel on veut en savoir plus. Mais aussi Mimi, la mignonne assistante informatique de Rin qui cache peut-être encore plus de secrets. On découvre également Koki Maeno et sa famille, tous très réalistes et touchants au possible, Laura, le fameuse tueuse à gage ennemie de Rin, l'inspecteur Tamotsu, l'informateur secret de la détective et surtout, Apos sur lequel je ne dirais rien de plus. Bref, on a ici un excellent bestiaire de monstres et de très bons personnages. L'immersion est totale du fait de notre attachement pour eux et ceci permet une grande crédibilité de l'univers.
Cependant je reviens sur le sujet un court instant. Mnemosyne est très complexe et ne peut être appréhendé par tout le monde, c'est sans doute son plus gros défaut(le seul ?) et donc, si vous êtes plutôt pan-pan-boom-boom, que vous préférez quand ça bouge vite ou que vous avez une culture générale un peu faible(surtout dans le domaine de la religion) je vous conseille de le garder dans un coin de votre tête pour plus tard. Toujours est-il que c'est un anime de grande qualité qui vous fera découvrir un univers unique et palpitant.
Techniquement pour finir, c'est un anime grandiose. La bande-son s'intègre parfaitement à l'ambiance et risque bien de vous faire frissonner par moments. L'aspect visuel est magnifique avec notamment un excellent chara-design et des couleurs pures et nettes. L'animation se révèle aussi d'une très bonne qualité même avec ce genre de rythme, ce n'est pas l'aspect le plus crucial. Mnemosyne est donc un excellent anime que j'aurais voulu un peu plus long mais qui devrait charmer un public certes restreint mais passionné, pour l'emmener dans un univers sombre, violent et choquant mais terriblement addictif.
Note finale : 18/20
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Par Zerias le 18 Octobre 2014 à 15:40
Après deux sujets moyens, on continue sur notre lancée(on ne change pas une équipe qui gagne dirons nous...) avec Mew Mew Power.
Nom Original: Tokyo Mew Mew
Auteur: Reiko Yoshida, Mia Ikumi
Années de production: 2002-2003
Catégorie: Shôjo
Genre: Magical Girl, Comédie
Studio: We've Inc., TV Aichi, Kodansha, Tokyu Agency, Studio Pierrot
Durée: 52 épisodes de 22 minutes
Manga issu de la collaboration entre Reiko Yoshida(écriture) et Mia Ikumi(dessins) et débuté en 2000 Tokyo Mew Mew remporte rapidement un bon succès auprès de la gente féminine adolescente particulièrement chez les anglophones. Il était donc évident qu'on verrait l'oeuvre adaptée en anime et ce fut le cas en 2002 où elle débarqua dans nos contrées pour le plus grand plaisir des enfants. L'histoire suit Ichigo, une fillette de onze ans obligée de se transformer pour lutter contre des extra-terrestres venus envahir la Terre. En Mew Ichigo elle est capable d'utiliser de nombreux pouvoirs qui lui permettront de défendre sa famille et ses familles. Mais pour éviter réellement le drame, elle devra retrouver les quatre autres Mew afin de protéger le Mew Aqua, arme ultime qui ne doit pas tomber entre les mains des aliens.
Bon je vous l'accorde c'est un scénario à la con. Mais pourtant la bonne humeur qui se dégageait du titre ainsi que ses personnages clichés mais touchants lui donnaient un certain charme pour les moins de dix ans. Cependant j'utilise l'imparfait pour cerner LE problème de l'anime comme du manga, c'est bâclé. La base est bizarre mais peut fonctionner mais si le reste de l'anime ne suit pas ce n'est pas bon. Ici, l'histoire déjà barrée devient complètement débile passé dix épisodes, le rythme est mou, c'est répétitif, le doublage est mauvais peu importe la langue bref, il n'y a tout simplement pas assez de travail fourni. Malheureusement ce qui démarrait comme quelque chose d'énergique, d'original et de barré tombe vite dans le convenu et le classique et perd son esprit de base. Dommage donc. Je n'ai jamais considéré cette série comme une référence ni même comme une bonne série mais au moins je pouvais la regarder. C'est vite devenu impossible car en plus d'être désormais banal, c'était scénarisé sous extasie. Un anime et un manga très très moyens donc.
Note finale : 11/20
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Par Zerias le 18 Octobre 2014 à 15:24
On enchaîne avec le tout premier anime adapté du manga de Ken Akamatsu.
Nom Original: Mahou Sensei Negima
Auteur: Ken Akamatsu
Années de production: 2005
Catégorie: Shônen
Genre: Fantastique, Ecchi, Comédie
Studio: Xebec
Durée: 26 épisodes de 22 minutes
Débuté en 2003 et écrit par Ken Akamatsu(l'auteur de Love Hina) le manga Negima est un véritable carton au Japon. Racontant l'histoire de Negi Springfield, un jeune sorcier de 10 ans devenu professeur d'anglais dans un lycée pour filles au Japon, l'oeuvre d'Akamatsu reprend les thèmes chers à l'auteur c'est à dire de l'ecchi, du harem, de la comédie et de la magie dans tous les sens. Negi étant petit et mignon, toutes les filles ou presque de sa classe vont se jeter dessus et le traiter comme un petit frère ce qui va déclencher bon nombre de scènes comiques et érotiques. Bref, autant vous le dire, si l'anime a un scénario, alors il est doit être développé dans les autres saisons car dans celle-ci je n'ai absolument rien vu.
Negima n'est pas un anime désagréable, c'est certes très comique plutôt bon enfant et pas vilain visuellement parlant mais il faut avouer que rien n'est développé. Les personnages des filles sont vides de sens et peu construits, le héros est souvent énervant et faible et l'histoire ne progresse pas d'un iota entre le premier et le dernier épisode(il existe toutefois plusieurs saisons et beaucoup d'OAV). Même si l'ambiance est sympa et proche d'un Love Hina(que j'adore) je n'ai vraiment rien trouvé qui m'ait encouragé à continuer la licence. J'ai donc arrêté à la fin de l'épisode 26, je n'ai pas vu à quoi ressemblait le scénario même si je me suis renseigné(entre parenthèses, ça a l'air horrible et très mal écrit comme Bleach, One Piece ou Naruto). Toujours est-il que j'ai un peu rigolé mais c'est bien tout. On peut trouver la relation entre Asuna et Negi touchante mais encore une fois, c'est bien le seul aspect développé. Je ne sais pas ce que vaut le manga papier mais l'anime est tout ce qu'il y a de plus moyen. Le rythme est mou et on a l'impression de rester en surface de l'histoire tout au long. Je ne vous le conseille donc pas du tout, on trouve facilement beaucoup mieux dans le genre nekketsu.
Note finale : 11/20
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