• 84 - Black Rock Shooter

    Genre : Action, Science-fiction

    Public visé : 10+

    Durée : 8 épisodes de 25 minutes, 1 clip de 4 minutes, 1 OAV de 52 minutes

     

    Le jour de la rentrée des classes, Mato Kuroi rencontre l'intrigante Yomi Takanashi et décide de devenir son amie. Le contact passe bien et Mato se retrouve peu après chez Yomi, à discuter de tout et de rien. Mais soudain apparaît une jeune fille en fauteuil roulant. Yomi semble la craindre et met gentiment à la porte sa nouvelle amie. Mato décide alors d'en savoir plus, refusant d'interrompre son amitié. Au même moment, bien loin de ce monde, deux créatures humanoïdes s'affrontent au milieu de ruines aux origines inconnues. Ces deux créatures ressemblent traits pour traits à Mato et Yomi. Existe-t-il un lien entre le monde des ruines et le monde de Mato ? Si oui lequel ? Plutôt complexe et d'une grande originalité, Black Rock Shooter se révèle bien plus réaliste qu'il n'y paraît. Prenant et exigeant l'anime tout d'abord sorti en OAV puis décliné en épisodes risque bien de vous réserver quelques surprises. Bénéficiant d'une direction artistique incroyable et d'un univers sombre et glauque on peut toutefois lui reprocher une trop grande complexité qui pourrait bien faire fuir une partie du public. Surtout qu'elle n'est pas tout le temps nécessaire. Mais un tel univers, un tel engagement créatif ne peut que mériter des félicitations. J'ai énormément apprécié cet anime qui sortait tellement des carcans habituels tout en visant un objectif très simple. Vaste et complexe tout, le tout sans prétention, voilà ce qui définit bien Black Rock Shooter.

     

    Les +

    - Une originalité vraiment bienvenue qui instaure un univers unique et un concept scénaristique très intéressant.

    - Une direction artistique qui ne plaira pas à tout le monde mais que j'ai personnellement adoré.

    - Des combats super dynamiques et impressionnant au niveau technique.

    - Des personnages plutôt efficaces et attachants.

     

    Les -

    - Une complexité qui divise le public et qui n'est pas toujours utile.

    - Un schéma narratif très structuré, avec tous les défauts de mise en scène que ça comporte.

    - Une fin un peu décevante.

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  • 85 - BTOOOM !

    Genre : Action, Science-fiction

    Public visé : 10+

    Durée : 12 épisodes de 22 minutes

     

    Dans un futur très proche les jeunes du monde entier sont happés par le phénomène BTOOOM, un jeu vidéo massivement multijoueur dans lequel les participants se livrent à des batailles à l'aide de huit types de bombes appelées BIM. Ryuta Sakamoto est un jeune japonais sans emploi qui excelle à BTOOOM mais ne fait rien de sa vie. Poids mort pour sa famille qui le supporte depuis longtemps, il n'a aucune vie sociale et a pour seul objectif de devenir numéro un mondial au jeu de ses rêves. Un matin, sans trop savoir comment, Ryuta se réveille dans une forêt tropicale avec une sacoche qui ne lui appartient pas et un cristal étrange implanté dans la main. Alors qu'il cherche de l'aide il rencontre un autre homme. Mais bien loin de vouloir dialoguer l'homme attaque Ryuta avec des bombes similaires aux BIM. Obligé de riposter, le jeune japonais ouvre sa sacoche et constate qu'elle contient de vraies BIM. Finalement, BTOOOM n'est peut-être pas qu'un simple jeu. Superbe adaptation libre du roman décliné en manga et en films Battle Royale, BTOOOM ! rend un très bel hommage à l'oeuvre de Koshun Takami. On y découvre un grand nombre de personnages, tous avec une histoire propre, construite et intéressante, évoluer dans un milieu hostile qui ne pardonne aucune erreur. Obligés de combattre pour leur survie et pour l'amusement de riches personnes, certains feront le choix de céder à la facilité là où d'autres lutteront contre les règles quoiqu'il arrive. Dérangeant, passionnant et sacrément réaliste par bien des aspects BTOOOM ! est un excellent anime qui n'a malheureusement pour l'instant pas de suite. En tout cas, c'est un indispensable pour les fans de Battle Royale ou pour ceux qui veulent découvrir l'esprit de l'oeuvre.

     

    Les +

    - Des personnages variés, construits et riches. Qui plus est, un excellent chara-design.

    - Un concept de base proche de Battle Royale avec tout ce qu'il faut de critiques virulentes de la société, de violences physiques et psychologiques et d'émotions fortes.

    - Un aspect visuel superbe.

    - Des combats passionnants et rarement bourrins, plutôt proches de ceux de JoJo's en un sens.

    - Une ambiance glauque et sombre qui marque presque autant que le manga Battle Royale.

    - Une identité propre qui le protège des mauvaises comparaisons avec Battle Royale. Les deux se ressemblent mais ne sont pas des copies conformes.

     

    Les -

    - Une seule saison et pas de suite de prévue. L'histoire n'est donc qu'à ses balbutiements.

    - Le comportement parfois difficilement compréhensibles des personnages.

    - Un message principal dur et lourd de sens qui prend nécessairement beaucoup de temps à être délivré. Quiconque décide de lancer le projet sans avoir prévu au moins trois saisons ne peut que se tirer une balle dans le pied.

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  • On enchaîne avec la troisième partie de l'anime JoJo's : Stardust Crusaders.

    JoJo's Bizarre Adventure : Stardust Crusaders

    Nom Original : JoJo no kimyou na boken : Stardust Crusaders 

    Auteur : Hirohiko Araki

    Années de production : 2014-2015

    Catégorie : Shônen

    Genre : Action, Combat, Fantastique

    Studio : David Production

    Durée : 48 épisodes de 22 minutes

    JoJo's Bizarre Adventure : Stardust Crusaders

    Suite de Battle Tendency, Stardust Crusaders débute en 1989 alors que Joseph Joestar, désormais grand-père, arrive au Japon pour voir sa fille Holly et son petit-fils. Ce dernier semble avoir des problèmes et se trouve en prison. Joseph et Holly partent donc le chercher mais Jotarô, voyou à ses heures, refuse de quitter sa cellule de peur de tuer quelqu'un. Il prétend qu'une créature étrange le suit partout et le protège violemment de ses agresseurs. Pour le prouver il vole une arme aux gardiens et se tire une balle en pleine tête. Mais celle-ci est stoppée provoquant la stupeur des témoins. Pour le faire sortir, Joseph confie la tâche à Muhammad Avdol, un ami égyptien diseur de bonnes aventures qui l'a accompagné au Japon. Au grand étonnement de Jotarô, Avdol possède lui aussi une créature et n'hésite pas à s'en servir. Après un court combat, le jeune voyou découvre que la créature est contrôlable et quitte les lieux. Ces créatures se nomment des Stands. Personne ne connait leurs origines mais elles sont très anciennes. Il s'agit en fait de la forme combative de l'esprit de son propriétaire et elles servent dans la lutte du bien contre le mal. Et ce mal pourrait être bien plus proche qu'on ne le pense. En effet Joseph vient au Japon pour prévenir Jotarô que Dio Brando, le frère adoptif de son grand-père et vampire apparemment disparu en mer vient d'être aperçu. Celui-ci se serait fait greffer la tête sur le corps de Jonathan et ressentirait alors la présence des descendants des Joestar. Le vampire préparerait alors sa conquête du monde et la destruction complète de sa famille adoptive. 

    Peu enclin à écouter son grand-père et à se comporter en chevalier blanc, Jotarô préfère ignorer les demandes de Joseph et Avdol. Peu après, alors qu'il est au lycée il se fait attaquer par un jeune homme manipulant un stand et agissant pour le compte de Dio. Il le vainc difficilement et le ramène chez lui pour un interrogatoire. Avdol et Joseph découvrent alors un bourgeon de chair implanté dans le crâne du lycéen, un bourgeon issu de Dio qui manipule les êtres vivants. Jotarô utilise alors son stand baptisé Star Platinum pour sauver son ennemi et obtenir des renseignements. Une fois Noriaki Kakyoin sauvé, celui-ci leur révèle le plan de Dio, un plan qui passe par leur élimination. Toujours pas motivé à arrêter son ancêtre, Jotarô change d'avis lorsque sa mère se fait avoir par une malédiction envoyée par le vampire. Celle-ci n'a plus que 50 jours à vivre si Dio n'est pas vaincu. Après avoir confié Holly à la fondation Speedwagon, amie de la famille, Joseph part avec Jotarô, Avdol et Kakyoin en direction du Caire, repaire de Dio. Sur leurs routes, ils seront pris en chasse par de nombreux utilisateurs de Stands mais trouveront également de précieux alliés comme le français excentrique Jean-Pierre Polnareff et le chien paresseux Iggy.

    JoJo's Bizarre Adventure : Stardust Crusaders

    Indéniablement cette troisième partie est ma favorite. Si le scénario se révèle plutôt classique et si la narration est très répétitive(on avance, un combat, on avance, un combat et ce pendant deux saisons) le reste ne peut que vous scotcher à votre siège. Tout d'abord l'univers. Celui-ci est toujours aussi développé et se voit même sérieusement approfondi par l'apparition des Stands. On reste dans le glauque, le combat, l'action pure et la comédie barrée. C'est toujours aussi délirant et toujours autant dans la surenchère, celle-ci est simplement beaucoup mieux placée. Ensuite, les personnages et là, quel génie ! Si on excepte quelques adversaires les personnages de Stardust Crusaders sont très charismatiques et sacrément impressionnants. Jotarô est encore plus classe que l'était Joseph et figure sans doute parmi les héros les plus admirables de l'histoire du manga. Joseph est quant à lui toujours aussi drôle et attachant. Kakyoin assure dans le rôle du petit génie et Polnareff s'occupe presque à lui seul de l'aspect comique, qui est d'ailleurs beaucoup plus irrévérencieux qu'avant. Avdol quant à lui est très attachant du fait de son sens de l'honneur et de ses valeurs. Je pourrais continuer encore longtemps comme ça à encenser Dio, Vanilla Ice, Forever, Pet Shop ou les frères D'Arby mais je préférerai parler de ma grande déception à ce niveau là : Iggy. Le personnage d'Iggy est malheureusement totalement bâclé dans cet anime et c'est fort dommage tant il offrait en combat et présentait de bonnes idées de narration. Beaucoup moins fort qu'il n'aurait dû, ce dernier ne brille qu'une seule fois, à la toute fin de la série. Très décevant par rapport au Iggy des OAV. 

    Mis à part les personnages on saluera aussi l'apparition des Stands qui sont pour moi LA bonne idée de cette partie. Star Platinum, The Fool, The World, Hermit Purple, Hierophant Green, Strength, Silver Chariot et les autres sont badass au possible et présentent une multitude de possibilités en combat. Le résultat final est là, les affrontements sont pratiquement tous dantesques, qu'ils soient orientés vers la force pure ou la stratégie à la Battle Tendency. C'est brillant, passionnant et original. Au niveau de la mise en scène, c'est beaucoup moins lourd que précédemment. Si on peut regretter le schéma narratif répétitif de la série les personnages et les combats effacent largement ce petit désagrément. Eh oui, si les choses s'enchaînaient différemment les combats auraient forcément été moins nombreux. Et compte tenu de leur qualité générale, ça aurait été trop bête. Enfin j'ai beaucoup apprécié le changement léger mais bienvenue de direction artistique. C'est toujours moins beau que les OAV mais c'est suffisamment général pour coller à l'esprit du manga et plaire à tous les publics. Quoique tous les publics ne devraient pas se mettre devant. C'est d'ailleurs de ça qu'on va parler maintenant.

    JoJo's Bizarre Adventure : Stardust Crusaders

    Le principal défaut de l'anime c'est de ne pas savoir où il va. Et on le remarque avec la censure. Celle-ci intervient régulièrement mais de manière totalement nawak. Pour donner un exemple, une exécution particulièrement violente est clairement montrée et juste après, une petite baffe qui fait sauter une dent est censurée. Très souvent, la censure(qui n'a rien à foutre là car JoJo's est assez violent, c'est sa nature) est mal placée et difficilement compréhensible. Quelque chose de très violent passe nickel, des trucs à peine sanglants sont eux censurés et le mieux reste la clope. Dès qu'une cigarette est montrée, un énorme cercle noir apparaît dessus. Donc quand Jotarô fume, un énorme cercle lui fait disparaître la moitié inférieure de la gueule. C'est tout simplement n'importe quoi. Et cette errance se caractérise aussi dans le récit. Si beaucoup d'adversaires meurent au début, le groupe décide plutôt de les assommer ou de les attacher par la suite. Du coup certains vivent, d'autres meurent et ce ne sont pas les plus inoffensifs qui sont relâchés. C'est à n'y rien comprendre. Parfois le public visé est clairement mature parfois il dépasse à peine les dix ans. Et je dois dire que tout ça gêne parfois, ça nous sort complètement de l'anime à cause de questions inutiles qui naissent dans notre tête. C'est un shônen violent mais un shônen quand même. Pourtant certaines scènes et l'humour assez corrosif mettent le doute. 

    En fait le principal problème vient de la mise en scène. Ces changements existent dans le manga original mais la mise en scène fait que tout paraît normal. Là ce n'est pas le cas car le studio s'est enfermé dans une routine narrative dont il n'arrive plus à sortir. Le cadre fait donc 100% nekketsu mais le contenu lui se présente comme une oeuvre destinée à des adolescents. David Production a donc encore des progrès à faire, également au niveau du rythme, mais dans l'ensemble, la série reste très abordable et extrêmement plaisante. J'ai donc énormément apprécié cette troisième partie du manga et j'attends avec impatience la quatrième qui devrait apparemment débarquer chez nous durant le printemps 2016. Je vous conseille fortement de visionner cette série au complet(même la moyenne première partie) et vous oriente au passage vers les OAV qui offrent une vision plus sanglante et plus adulte du scénario de Stardust Crusaders. En bref, JoJo's Bizarre Adventure est une tuerie.

    JoJo's Bizarre Adventure : Stardust Crusaders

    Note finale : 17/20

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  • En parallèle au top 100 des animes on se retrouve aujourd'hui pour deux articles. Voici donc le premier qui concerne un des plus grands rivaux de Disney durant les années 80 : Brisby et le secret de NIMH.

    Brisby et le secret de NIMH

    Nom Original : The Secret of NIMH

    Réalisateur : Don Bluth

    Année de sortie : 1982

    Genre : Aventure, Familial

    Studio : Aurora

    Durée : 1h20

    Brisby et le secret de NIMH

    Fameux film d'animation des années 80, Brisby et le secret de NIMH a marqué plusieurs générations en offrant un résultat digne des Disney de l'époque notamment grâce à une animation de qualité et une narration prenante, particulièrement pour le jeune public. Le secret de NIMH se déroule dans un champ à proximité d'une maison de fermiers. Madame Brisby est une souris veuve de Jonathan Brisby qui élève quatre souriceaux dont l'un vient de tomber gravement malade. Alors qu'elle obtient un remède du médecin du coin elle apprend que son souriceau devra rester au lit durant plusieurs semaines. Malheureusement en même temps, le fermier débute ses travaux agricoles, forçant les animaux du champ à quitter leur foyer. Désemparée et seule pour sauver sa famille, Madame Brisby interroge le sage hiboux quant à la démarche à suivre. Menacée par l'oiseau prédateur, elle n'est sauvée que par l'évocation du nom de Jonathan Brisby. Le vieux sage lui conseille alors d'aller voir les rats, qui préparent apparemment quelque chose. A de multiples reprises durant son aventure, Madame Brisby va être aidée grâce au nom de son mari. Outre sauver ses enfants, cette aventure incroyable va alors lui permettre de découvrir qui était réellement son mari.

    Brisby et le secret de NIMH

    Grosse réussite de Don Bluth, Brisby et le secret de NIMH est un film d'animation touchant, dynamique et particulièrement bien réalisé qui plonge totalement le jeune public dans l'aventure de cette courageuse mère souris. Je me souviens l'avoir vu quand j'étais petit et j'avais littéralement adoré ce dessin animé. Le personnage principal est attachant, le rythme est soutenu et l'histoire est plutôt prenante. Comme sa réputation l'indiquait, c'était une excellente alternative aux productions Disney dont le travail certes admirable était légèrement répétitif au fil des oeuvres. Cependant je l'ai revu aujourd'hui pour bien me rappeler du scénario et je dois avouer que le tout a extrêmement mal vieilli. C'est toujours un bon film et toujours un rival aux Disney de l'époque, qui ont vieillis au même rythme, mais c'est assez douloureux de faire la comparaison. J'ai également pu me rendre compte par ce procédé que Brisby et le secret de NIMH ne visait pas un public très large mais plutôt jeune. On se sent un peu exclu passé un certain âge. Cependant ne serait-ce que pour ce qu'il représente ce film mérite encore d'être vu et qui sait, vous pourriez bien adorer comme je l'ai adoré il y a des années. Brisby et le secret de NIMH reste clairement l'un des rares films d'animation pré-années 90 à sérieusement mettre en péril Disney. C'est une belle oeuvre issue d'un travail colossal, tant technique qu'artistique. Un excellent souvenir.

    Brisby et le secret de NIMH

    Note finale : 14/20

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  • 86 - 009-1

    Genre : Espionnage, Action

    Public visé : 10+

    Durée : 12 épisodes de 22 minutes, 1 épisode spécial de 22 minutes

     

    Membre de la très rare catégorie des animes d'espionnage 009-1 mérite largement qu'on pause les yeux sur lui. Digne adaptation des James Bond et autres cadors du genre l'anime nous entraîne dans un futur lointain où le monde est scindé en deux camps qui entretiennent des relations tendues : l'Est et l'Ouest. Mylenne Hauffman est un agent du bloc Ouest immatriculé 009-1 et envoyé en mission avec ses collègues pour délivrer et extrader un scientifique ayant découvert une nouvelle source d'énergie. Celle-ci mal utilisée pourrait créer une arme atomique dévastatrice. A l'heure où la tension est à son comble et où un traité de désarmement va être signé la mission ne doit pas échouer sous peine de condamner des millions voire des milliards de vie. Haletant et bien mis en scène 009-1 est l'un des très(trop) rares animes d'espionnage. Et rien que pour ça il mériterait de figurer ici. Mais ce n'est pas la seule raison, 009-1 est tout simplement impressionnant sur bien des points à commencer par son rythme et son ambiance. Le cador de l'oeuvre d'espionnage.

     

    Les +

    - Un personnage principal charismatique et attachant.

    - Un rythme soutenu et sans temps morts.

    - Une ambiance aux petits oignons.

    - Un excellent spécimen d'un genre trop peu connu.

    - Un scénario très efficace durant la première partie de l'anime.

    - La direction artistique assez tranchée. Pour certains...

     

    Les -

    - Le scénario de la seconde partie de la série, beaucoup moins bien écrit quoique très correct.

    - Une fin un poil bizarre.

    - La direction artistique assez tranchée. Pour d'autres...

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