• Je pars quelques jours en programmant la mise en ligne des articles du blog et quand je reviens, je constate que le moral est au beau fixe. Visiblement, tout part en couille. Enfin bref je ne commenterai pas et me contenterai de faire mon boulot du jour. Voici Cars 2.

    Cars 2

    Nom Original : Cars 2

    Réalisateur : John Lasseter, Brad Lewis

    Année de sortie : 2011

    Genre : Aventure, Comédie, Course

    Studio : Pixar

    Durée : 1h45

    Cars 2

    Cars 2 est donc la suite de Cars : quatre roues(gros spoiler) et nous présente le nouveau quotidien de Flash McQueen qui est désormais devenu une sacrée voiture de course. Désormais champion de la Piston Cup pour la quatrième fois, il retourne chez lui pour retrouver ses amis et sa copine Sally. Son quotidien redevient simple et paisible. Mais quand un magnat du pétrole complètement dingue organise une nouvelle course pour vanter les mérites des biocarburants Flash est invité à y participer. Ce dernier refuse mais change d'avis après avoir été provoqué par une formule 1 mondialement reconnue dans le milieu. Cependant l'environnement est en danger et Flash va devoir choisir entre participer à une course immorale mais garder son statut ou le perdre et garder ses valeurs.

    Cars 2

    Encore une fois on échappe pas à la règle. Quand un film marche, une suite est mise en route mais avec beaucoup moins d'idées et de sérieux ce qui se traduit par un second film nettement moins bon. Comme quoi Pixar est devenu vraiment prévisible. Cars 2 n'est pas mauvais mais il est à des années lumière du premier film de la franchise. Scénario franchement décevant, nouveaux personnages pathétiques, messages pro-consommation par centaines(en fait c'est une pub), messages moraux très mal développés à tel point qu'on se demande de quel côté sont les réal, durée trop longue et bande-son mal fichue sont autant de points noirs qu'on peut reprocher au film. Je ne m'étendrai pas là dessus car je n'ai pas le temps mais pour aller droit au but, Cars 2 est un film d'animation passable mais en aucun cas bon ni captivant. On retrouve l'excellent niveau visuel et technique de Pixar ainsi qu'un certain humour mais c'est tout. Comme d'habitude avec les suites, ce film n'est destiné qu'à engranger du pognon. Quand je pense qu'un troisième est en cours de production j'ai peur.

    Cars 2

    Note finale : 12/20

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  • On enchaîne aujourd'hui avec Cars, un très bon Pixar.

    Cars

    Nom Original : Cars

    Réalisateur : John Lasseter, Joe Ranft

    Année de sortie : 2006

    Genre : Course, Aventure, Comédie

    Studio : Pixar

    Durée : 1h50

    Cars

    Comment ne pas connaitre le phénomène Cars qui a déferlé durant les années 2006 et 2007 en France. Véritable carton au box-office, le film de Lasseter et Ranft a connu un énorme succès qui en a fait l'une des oeuvres les plus rentables de l'histoire de Pixar. On y suit la voiture de course Flash McQueen dans sa quête de célébrité et de gloire pour remporter la Piston Cup qui lui permettra d'être le meilleur rookie de l'histoire. Alors que la grande finale du championnat s'achève sur une énorme confusion, trois vainqueurs sont déclarés. Pour les départager une nouvelle course est alors organisée, mais bien loin. Flash va donc devoir se rendre sur les lieux mais un coup de malchance va le faire se perdre dans le désert. Fatigué et hautain, Flash va mener la vie dure aux habitants du désert pourtant très sympathique. Mais à leur contact, la jeune voiture de course va recevoir une leçon de vie sur la modestie et la franchise qui va lui redonner de la motivation pour dix ans. Il s'agira alors pour Flash de remporter la course tant voulue avec le soutien de ses nouveaux amis.

    Cars

    Drôle, dynamique et bien mis en scène, Cars est un film très agréable à suivre. Si le scénario ne sort pas des carcans habituels il n'empêche que le fait de suivre une voiture et non plus un être vivant fait son effet. C'est original dans l'habitude et ultra dynamique, notamment pendant les scènes de course. D'ailleurs en parlant de scènes de course cela me permet d'aborder l'animation qui est tout simplement bluffante. Visuellement Cars est une petite révolution tant il est beau mais son animation est simplement hallucinante pour une oeuvre de 2006. C'est très impressionnant et on reconnait là le niveau de Pixar. Enfin, la bande-son est de bonne qualité malgré des musiques un peu fades. Cars est donc un super film qui mérite d'être vu mais qui n'est pas pour autant inoubliable. C'est de très bonne qualité mais les adultes sont un peu exclus du film. Habituellement Pixar fait des films très ouverts, sans cibler plus que ça un public particulier, là j'ai vraiment l'impression que ce sont les enfants les seules cibles du studio. C'est un peu le Mon Voisin Totoro de Pixar dirons nous. Cela reste un super film tout de même.

    Cars

    Note finale : 15/20

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  • On termine sur les jeux vidéo avec l'excellent Trine, un jeu de plates-formes hallucinant.

    Trine

    Développeur : Frozenbyte

    Editeur : Nobilis, Atlus

    Support : PC

    Date de sortie euro : 3 juillet 2009

    Genre : Plates-formes, Aventure, Action, Réflexion

    Trine

    Trine est un jeu ambitieux de plates-formes trouvable sur le Xbox Live, le PSN et Steam. Véritable révélation de l'année 2009 il nous plonge dans un univers de fantasy dans lequel les morts-vivants sortent de la terre pour attaquer un royaume et en prendre le contrôle. Les habitants fuient, l'académie des mages est abandonnée et le chaos règne en maître. Mais pendant que les combats entre les hommes du roi et les morts ont lieux, trois personnages vont se retrouver dans la salle du trésor : une voleuse venue chaparder, un magicien l'ayant remarqué et un guerrier venu défendre le trésor. Ensemble ils tombent sur le Trine, un mystérieux artefact qui va leur confier de manière plus ou moins forcée une mission, celle de sauver le royaume des revenants. Malgré leur inimitié, les trois personnages vont alors devoir faire équipe pour retrouver les autres artefacts permettant de renvoyer les morts d'où ils viennent. Les pouvoirs du magicien, l'agilité de la voleuse et la force du guerrier vont devoir être combinés pour achever la quête du Trine.

    Trine

    Scénaristiquement le jeu est très basique mais sa narration typée conte de fée et son humour en font un indispensable. Mais ce n'est de toutes manières pas l'essentiel pour un jeu de ce genre, ce qui compte c'est le gameplay. Et il est excellent. Combiner les pouvoirs du magicien, la force du guerrier et l'agilité de la voleuse ne sera pas de tout repos, résoudre les différents tableaux à fond sera plutôt complexe. Le magicien peut créer des objets lui permettant de passer un précipice ou de grimper à l'étage supérieur, la voleuse se sert d'un arc et d'un grappin pour gagner de la hauteur et tuer ses ennemis, quant au guerrier il ne s'agit ni plus ni moins que d'un bourrin utile au combat et capable d'exploser les murs fragiles. L'alliance des trois est donc essentielle et terriblement jouissive. Certaines énigmes sont assez tordues et nécessitent alors une concentration optimale, un must. Mais là où Trine fait fort, c'est dans sa manière d'embarquer le joueur dans son univers. Dès les premières minutes la magie opère, notamment grâce à un menu magnifique. Sincèrement, le jeu est d'une beauté hallucinante. Chaque niveau est bourré de détails, le chara-design est excellent et les couleurs sont parfaites. J'ai rarement vu autant de travail visuel pour un si petit jeu. Il en est de même pour les musiques, magnifiques également, qui donnent au jeu une ambiance épique et chevaleresque. Trine est un grand jeu grâce à ses grandes qualités, peu importe les moyens ou le développeur derrière tout ça. Durant les quatre ou cinq heures que dure le jeu c'est un rêve éveillé que vous allez vivre. Trine est une excellent surprise et un très bon jeu que je referai tôt ou tard.

    Trine

    Graphismes : 19/20

    Gameplay : 17/20

    Durée de vie : 11/20

    Bande-son : 19/20

    Scénario : 15/20

    Note finale : 18/20

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  • On enchaîne en toute logique avec le deuxième épisode de la licence et le dernier que j'ai pu faire à ce jour.

    Secret Files : Puritas Cordis

    Développeur : Fusionsphere Systems

    Editeur : Deep Silver

    Support : PC

    Date de sortie euro : 7 mai 2009

    Genre : Point'n'click, Aventure

    Secret Files 2 : Puritas Cordis

    Suite directe du premier Secret Files, Puritas Cordis nous fait retrouver Nina Kalenkov durant ses vacances pour oublier son ex petit-ami Max. A son arrivée sur le quai, elle se fait accoster par un homme visiblement fou qui meurt peu après, renversé par un chariot. Une fois sur le bateau ce n'est pas mieux, Nina récupère une valise différente de la sienne et se fait attaquer en pleine nuit. Elle ne sait pas quoi mais quelque chose se trame sur le navire, quelque chose qui va lui faire regretter ses vacances. A l'autre bout du monde Max est en expédition avec son amie Sam Peters, dans la jungle. Ils sont à la recherche d'un moyen pour ouvrir un vieux temple. Malheureusement, Sam est capturée par des mercenaires. Max doit alors trouver un moyen de la libérer. Deux affaires, deux héros et pourtant, un point commun : la secte Puritas Cordis semble être derrière tous ces événements. Celle qui affirme que la fin du monde est pour bientôt semble nettement moins amicale en vrai qu'à la télévision. Cette aventure va être l'occasion pour nos deux héros de se retrouver et peut-être de reprendre contact.

    Secret Files 2 : Puritas Cordis

    Scénaristiquement prenant, tout du moins au début, Secret Files 2 nous permet de retrouver nos héros favoris dans une nouvelle histoire toujours aussi folle et bien plus drôle qu'avant. Si le scénario devient vite moyen comme l'était celui de Tunguska, les personnages et l'univers sont encore meilleurs. Suivre leur aventure est toujours très sympathique même si on retrouve les traditionnels défauts qui semblent liés à la saga. Si vous tenez à vos cheveux prenez garde, les énigmes sont encore moins logiques et compréhensibles que celles du premier opus. En dehors de cela on retrouve un gameplay tout à fait banal et plutôt efficace malgré de gros défauts de mise en scène qui laisse le joueur dubitatif quant à ce qu'il doit faire. On notera toutefois des améliorations que ce soit sur le visuel ou sur la bande-son qui deviennent des atouts majeurs du jeu. Quoiqu'il en soit Secret Files 2 offre un divertissement à peu près équivalent à Tunguska et avec les mêmes défauts. Globalement, c'est une bonne petite aventure de 8 heures sur laquelle on ne reviendra pas.

    Secret Files 2 : Puritas Cordis

    Graphismes : 17/20

    Gameplay : 13/20

    Durée de vie : 13/20

    Bande-son : 15/20

    Scénario : 13/20

    Note finale : 14/20

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  • On commence cette nouvelle semaine avec un jeu vidéo, le premier épisode de la célèbre licence de point'n'click Secret Files.

    Secret Files : Tunguska

    Développeur : Fusionsphere Systems

    Editeur : Deep Silver

    Support : PC

    Date de sortie euro : 17 novembre 2006

    Genre : Point'n'click, Aventure

    Secret Files : Tunguska

    Premier opus de cette saga, Tunguska nous plonge dans la peau de Nina Kalenkov, la jeune fille d'un brillant scientifique russe travaillant dans un musée à Berlin. Un soir, alors qu'elle se rend au musée trouver son père, elle constate qu'il a disparu. Son bureau est ravagé et l'homme est introuvable. En attendant la police elle fait la rencontre de Max, un jeune collègue de son père bien décidé à l'aider. Mais quand Nina découvre que la police se fout de l'affaire, elle décide de partir à la recherche d'un ancien ami de son père qui pourrait bien lui révéler des secrets du passé. Avec l'aide de Max, Nina va voyager dans plusieurs régions du monde dont la fameuse Tounguska dans laquelle a travaillé son père en 1908.

    Secret Files : Tunguska

    Je connaissais très peu la saga Secret Files avant de voir le pack comprenant tous les épisodes sur Steam mais je n'ai pas hésité pour autant à me le prendre. Je sentais que je tombais juste. La série est réputée pour être très drôle et pour avoir des personnages excellents qui donnent vraiment envie d'aller jusqu'au bout malgré la relative simplicité de l'histoire et les énigmes tirées par les cheveux. Et je dois avouer que tout est vrai. L'humour est présent, pas énormément mais suffisamment pour nous tirer quelques sourires. Quant aux personnages, ils sont exceptionnels malgré un doublage français calamiteux, Nina en tête. On s'y attache vite et l'univers particulièrement bien travaillé(et beau) nous donne sans problème envie de continuer. Pour les défauts c'est également vrai, l'histoire n'est pas des plus intéressantes et les énigmes sont tellement tirées par les cheveux qu'il y a de fortes chances de finir chauve au moment du générique de fin. Pour autant, Secret Files : Tunguska est un bon petit jeu sans aucune prétention et vraiment agréable à jouer qui nous tient occupé environ 8 heures. Certes il est loin d'être parfait et pour être honnête, il ne sort pas du tout du lot, mais j'ai bien aimé parcourir son univers et découvrir ses personnages emblématiques. Rien de bien folichon donc mais c'est tout de même un bon début de licence, à voir pour la suite.

    Secret Files : Tunguska

    Graphismes : 15/20

    Gameplay : 13/20

    Durée de vie : 13/20

    Bande-son : 13/20

    Scénario : 13/20

    Note finale : 14/20

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