• On enchaîne avec le second film Final Fantasy.

    Final Fantasy VII: Advent Children

    Nom Original: Final Fantasy VII: Advent Children

    Réalisateur: Tetsuya Nomura

    Année de sortie: 2005

    Studio: Square Enix

    Genre: Action, Fantastique

    Durée: 1h40

    Final Fantasy VII: Advent Children

     

    Fort du succès légendaire de Final Fantasy VII, premier opus de la mythique saga à être sorti dans le monde entier(...) Square Enix a voulu revenir sur ses fondamentaux en créeant une suite au combat entre Cloud et Sephiroth(pour ceux qui ne connaissent pas, l'article sur FF VII est disponible dans la section Jeux Videos). A la suite de l'annonce du film c'est donc une déferlante qui s'est produit parmis les fans du jeu, on attendait donc un film monstrueux, celui de toute une génération de joueurs. A l'évidence, les non-fans et les néophytes étaient mis de côtés. Et effectivement ce sera le cas.

    Final Fantasy VII: Advent Children

    Le monde entier attendait donc avec impatience le film dirigé par Nomura, bilan ? Et bien c'est mitigé, en effet on a l'impression que le film par certains côtés est adressé au grand public alors que la trame scénaristique est clairement faites pour les fans hardcores du jeu du coup peu importe de quel côté on est on ne s'y retrouve pas tout le temps. L'intrigue se situe deux ans après la fin de FF VII, un nouveau virus appelé Geostigmate a fait son apparition et touche durement la population. Des rumeurs parlent également de Jénova et de Sephiroth, deux mauvais souvenirs pour nos héros qui ont progressés dans leur vie individuelle. Cloud et Tifa s'occupe de Denzell et Marlène avec Barrett alors que Vincent les retrouve de temps en temps, pour les autres par contre, il faudra attendre longtemps pour avoir des nouvelles. Quoiqu'il en soit les choses dégénèrent quand trois frères, Loz, Kadaj et Yazoo débarquent pour récupérer les restes de Jénova afin de ramener Sephiroth d'entre les morts. Cela accumulé au retour des troupes de la Shinra suffit pour ramener nos héros au combat.

    Final Fantasy VII: Advent Children

    Le scénario n'est pas terrible en réalité, on voit clairement qu'il ne sert qu'a ramener certains personnages sur le devant de la scène, en l'occurence Cloud, Vincent, Tifa et Sephiroth. D'ailleurs pour voir les autres membres du groupe comme Red, Cait Sith, Youffie, Cid ou Barrett il faudra attendre plus d'une heure de film et encore, ils ne font qu'une apparition dans la grande mêlée, sans grosse importance. Malgré cela les fans s'y retrouveront et ne pourront qu'apprécier de revoir leurs héros favoris ou même de retrouver les Turks, à commencer par Reno, en grande forme dans le film. Le bilan au niveau des personnages est donc mitigé mais penche plutôt vers le bon côté. C'est pour les méchants que c'est problématique, alors oui c'est super de retrouver Bahamut et Sephiroth mais Loz et Yazoo sont complètement inutiles et Kadaj ne sert qu'à mettre en valeur Sephiroth, c'est bien beau de vouloir faire revenir le big boss mais ça ne coûte rien de travailler un peu les autres antagonistes quoi. Les personnages mis de côté, le scénario est très prévisible et pas spécialement accrocheur, heureusement les scènes de combat dantesques rattrapent ce défaut. Car en matière de scènes d'action, on a notre compte, ça pète dans tous les sens et les graphismes hors normes cumulés à une animation digne des meilleurs films donnent un rendus appréciable par tous.

    La bande-son est également de bon niveau que ce soit au niveau du doublage ou de la musique mais elle est bien loin de pouvoir rattraper la confusion qu'on ressent en visionnant le film. Le schéma des scènes étant tellement brouillon, on s'y perd facilement, et étant donné qu'on ne sait jamais à quel public le film s'adresse, il en résulte une perpétuelle confusion qui devient vite frustrante. C'est donc à mes yeux un film adressé aux fans mais de manière maladroite ce qui va donc plutôt intéresser les fans hardcores du jeu qui lui pardonneront la plupart de ses défauts. Mais pour la majeure partie de la population, le film est plutôt sympa mais trop confus, prévisible et maladroit pour oser prétendre être un grand film.

    Final Fantasy VII: Advent Children

    Note finale: 14/20

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  • On continue dans les films d'animation avec pour les deux prochains articles la franchise Final Fantasy en gros plan. On commence avec un film très connu et pas forcemment en bien, les Créatures de l'esprit.

    Final Fantasy: les Créatures de l'esprit

    Nom Original: Final Fantasy: The spirits within

    Réalisateur: Hironobu Sakaguchi

    Année de sortie: 2001

    Studio: Square Enix

    Genre: Action, Science-fiction

    Durée: 1h46

    Final Fantasy: les Créatures de l'esprit

     

    Voilà un film qui a fait couler beaucoup d'encre et qui a provoqué l'ire des fans de la saga dont je fais partie. Rappelons le contexte du film: Square décide vers la fin du vingtième siècle de se lancer dans le cinéma, pour cela la société prévoit une quantité colossale d'argent en vue de réalisé leur rêve. En 2001 sort ce film sur lequel tous avaient énormément misés, seulement l'oeuvre se casse littéralement la gueule en ne réalisant que 85 millions de dollars de recettes sur 137 dépensés. Pourquoi me demanderez-vous ? Et bien parce que c'était un film pour les fans de la saga mais qui n'avait absolument rien d'un Final Fantasy.

    En fait pour dire clairement les choses on ne trouve aucune trace de la saga dans le film tout entier, hormis le nom du professeur, Sid. Mais sinon oubliez tout le reste, que ce soit les monstres, les personnages, la magie, les noms mythiques ou l'univers en général et même jusque dans la narration il n'y a rien qui justifie les mots "Final Fantasy" dans le titre. On nous vendait ça comme l'hommage ultime à la franchise et c'est donc tout naturellement que les fans se sont sentis blousés, moi compris. Mais oublions pour l'instant ce problème afin de nous pencher sur le film en lui-même:

    2065: Aki Ross, jeune scientifique, vit dans un monde où la mort et la tristesse font partie du quotidien, un monde désolé. La Terre a été envahie par des monstres maléfiques qui s'en prennent aux hommes en leur volant leur esprit. Les gens se réfugient dans des cités protégées par des barrières et vivent dans la peur permanente. Aki, accompagnée de soldats dont un proche d'elle, décide de chercher le remède à ce mal afin de ramener la Terre à son état normal. Pour cela, elle veut rassembler les dernières formes de vie, mais évidemment, tout ne va pas tourner rond.

    Le scénario n'est pas spécialement hallucinant mais la mise en scène et l'ambiance lui donnent beaucoup de crédit et permettent aux spectateurs de se divertir malgré la déception. Les personnages ne sont pas vraiment réussis hormis Aki à laquelle on s'attache vite mais au vu des scènes d'action à foison on a pas besoin de les connaître mieux, tant qu'ils tirent c'est bon et ce n'est pas forcemment un avantage dans un film revendiqué FF. Par contre, là où on ne peut rien dire c'est au niveau graphique: les images de synthèse sont sublimes et font clairement de l'ombre aux plus grands blockbusters américains, de même l'animation est parfaitement maîtrisée et en impose. Le doublage est lui aussi à la hauteur contrairement à la bande-son plutôt oubliable. Au niveau technique donc, ce film est tout à fait respectable même bon, mais le scénario qui n'a rien à voir avec la série et les personnages à deux balles font resurgir la déception qu'on ressent en voyant les mots "Final Fantasy" dans le titre. Donc c'est un film plutôt convenable, moyen dirons-nous mais qui est clairement un gros fuck adressé à tous les vrais fans de la saga qui aurons au moins l'honneur de ne pas l'apprécier.

    Final Fantasy: les Créatures de l'esprit

    Note finale: 09/20

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  • Voici un article un peu spécial qui porte sur l'ensemble des films de la franchise DB que j'ai vu.

    Les OAV Dragon Ball/ Dragon Ball Z

    Le format de l'article sera donc différent de d'habitude tout d'abord car il est inutile de procéder à l'analyse technique cinquante fois, seuls les films Fusion et l'Attaque du dragon sont différents, habituellement on a des dessins identiques à l'anime, une bande-son régulière et convenable et une animation là aussi identique à l'anime. Pour les deux films cités plus haut la bande-son est de meilleure qualité et les dessins sont beaucoup plus jolis mais l'ensemble est encore une fois assez proche de l'anime. Je ne ferais pas non plus de long synopsis puisque les scénarios sont hyper basiques et que ce n'est de toutes manières pas un point important dans Dragon Ball. Ces films ne sont là que pour présenter de nouveaux adversaires et pour offrir son lot de combats au public qui le veut tant. Rien de grandiose donc mais ça reste du bon divertissement quoiqu'un peu répétitif. On commence donc(pardon pour le manque d'images, mais tous les films se ressemblent visuellement).

    Dragon Ball: La légende de Shenron

     Nom Original: Dragon Ball: Shen Long no densetsu

    Réalisateur: Daisuke Nishio

    Année de sortie: 1986

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 45 minutes

     

    C'est donc le tout premier film Dragon Ball, ce dernier se contente de peu puisqu'il n'est qu'un test pour savoir si le format passait bien auprès du public, ce qui fut le cas. On a donc ici un résumé du début de la série, les deux premiers tomes pour le manga, qui raconte la rencontre entre Goku et Bulma mais aussi leurs aventures avec Yamcha ou Oolong mais qui introduit aussi de tout nouveaux ennemis tel le Roi Gourmet, qui cherche les boules de cristal pour satisfaire son estomac.......Un peu con me direz-vous mais DB est une série pour les très jeunes donc bon, on tolère, on est en 1986 ça passe. Sinon rien de bien spécial à dire, on se croirait tout simplement dans un long épisode de Dragon Ball, on fait rarement aussi fidèle adaptation de l'univers. Seuls les ennemis viennent beaucoup ternir le tout car simplement ridicules et au final on sort plus dégouté qu'autre chose du visionnage. Bref, une adaptation bateau dont on ne se souviendra pas.

     Note finale:10/20

    Dragon Ball: le Château du démon

     Nom Original: Dragon Ball: Majinjou no nemuri hime

    Réalisateur: Daisuke Nishio

    Année de sortie: 1987

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 45 minutes

     

    Le second film est plus assumé et n'est plus un test, on le sent bien dans l'ambiance d'ailleurs. Ici Goku arrive sur l'île de Tortue Géniale qui lui donne pour mission avec Krilin de lui ramener une jolie fille prisonnière du château du démon, en gros juste un prétexte pour la baston. Mais n'étant pas un grand fan de DB mais plutôt de DBZ je me suis bien fait chier, c'est encore une fois un humour minable généré par des adversaires en carton avec des combats mauvais et en plus très très courts bref, à éviter, encore plus que le premier.

    Note finale: 8/20

     

    Dragon Ball: l'aventure mystique

     Nom Original: Dragon Ball: makafushigi daibouken

    Réalisateur: Kazuhisa Takanouchi

    Année de sortie: 1988

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 45 minutes

     

    Troisième film troisième essai et ça s'améliore un peu. En gros Goku et Krilin participe à un tournoi où ils rencontrent le petit empereur Chaoz, mais aussi Corbeau Génial, Tenshinhan et TaoPaiPai. Goku va venir en aide à un village d'indiens qui recherche la liberté dont Corbeau Génial les a privés. Encore une occase pour se taper sur la gueule et pour une fois je me suis bien amusé sur un film DB, rien ne change d'avec les deux premiers films hormis les ennemis et pourtant j'ai trouvé ça tolérable à défaut d'être bon. Peut-être est-ce le fait de retrouver Tenshinhan que j'ai toujours bien apprécié je ne sais pas, toujours est-il que c'est plus sympa mais attention, ça ne casse pas trois pattes à un canard non plus.

    Note finale: 11/20

     

    Dragon Ball Z: A la poursuite de Garlic

     Nom Original: Dragon Ball Z: Ora no Gohan wo kaese!!

    Réalisateur: Daisuke Nishio

    Année de sortie: 1989

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 45 minutes

     

    Bon là on reprend l'histoire pile entre DB et DBZ. Gohan qui est un tout jeune enfant se fait enlever par de mystérieux adversaires. Goku décide donc de partir à sa recherche avec l'aide de son ennemi Piccolo. Leur adversaire est le fameux Garlic, personnage qu'on connait pour l'avoir vu dans un hors-série DBZ et pour être l'ennemi le plus naze de l'histoire de la franchise. Autant le dire, j'ai pas aimé ce film, trop de parlote, ennemis en mousse, doublage en VF encore pire que tous les autres films réunis c'était un vrai carnage et puis juste pour Garlic ça mérite une mauvaise note, c'est quoi ce personnage à deux balles ? Bref, on s'ennui ferme, c'est inutile d'en dire plus par conséquent.

    Note finale: 9/20

     

    Dragon Ball Z: le robot des glaces

     Nom Original: Dragon Ball Z: konoyo de ichiban tsuyoi yatsu

    Réalisateur: Daisuke Nishio

    Année de sortie: 1990

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 45 minutes

     

    Nouveau film de Daisuke Nishio et ça s'améliore avec les années, ici Tortue Géniale se fait enlever par le professeur Cachan et ses serviteurs pour servir d'hôte au cerveau du redoutable docteur Willow. Rien de monstrueux niveau scenaristique on oublie d'ailleurs assez vite la trame mais les combats et l'animation sont d'un très bon niveau(lire le résumé au début de l'article) qui ne quittera plus les films. Même si peu charismatiques les ennemis proposent tous un bon challenge pour les héros ce qui donne lieu à de belles batailles. Plutôt pas mal pour un film qu'on aurait tendance à sous-estimer.

    Note finale: 12/20

     

    Dragon Ball Z: Le combat fratricide

    Nom Original: Dragon Ball Z: Chikyuu marugoto chou kessen

    Réalisateur: Daisuke Nishio

    Année de sortie: 1990

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 45 minutes

     

    Dans le Combat fratricide Thalès, l'autre frère de Goku(il en a combien ???) sorti du trou du cul de l'espace débarque avec sa clique pour faire ce que Raditz n'a pas réussi, euh non en fait il vient juste pour déglinguer tout le monde mais évidemment Goku et ses amis ne sont pas d'accord. C'est pour moi le premier vrai bon film DBZ, certes le scénario est toujours aussi bateau mais l'action n'a jamais été aussi fine et excitante et les combats sont vraiment de haut niveau. De plus, les ennemis ont de la gueule à commencer par Thalès qui est un Goku avec des burnes et ça, ça change. On a donc un bon film qui souffre cependant de l'absence des Super Saiyans.

    Note finale: 14/20

     

    Dragon Ball Z: La menace de Namek

     Nom Original: Dragon Ball Z: Chou saiyajin da Son Goku

    Réalisateur: Mitsuo Ashimoto

    Année de sortie: 1991

    Studio: TôEI, Studio Bird

    Genre: Combat, Action, Science-fiction

    Durée: 45 minutes 

     

    Nouveau film DBZ, seconde vraie réussite La menace de Namek met en avant le personnage de Slug, un habitant de Namek plutôt malfaisant venu conquérir la Terre. On a toujours autant de scénar mais encore une fois, on s'en fout. On est là pour les combats qui sont encore une fois excellent même si Slug est trop puissant ce qui rend les choses un peu trop déséquilibrées car fait avec moins d'impact que Broly. Sinon c'est encore un bon film d'action non prise de tête basé sur l'univers de Toriyama.

    Note finale: 14/20

     

    Dragon Ball Z:  La revanche de Cooler

     Nom Original: Dragon Ball Z: Tobikkiri no saikyou tai saikyou

    Réalisateur: Mitsuo Ashimoto

    Année de sortie: 1991

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 45 minutes

     

    Un des meilleurs films DBZ que voici, on découvre Cooler le frère de Freezer venu le venger en tuant Goku et ses amis et le moins qu'on puisse dire, c'est que ce personnage a vraiment la classe. Hormis ce changement on a encore une fois du très classique, mais du bon classique. Rien de bien spécial sinon, on reste vraiment dans la lignée de l'anime.

    Note finale: 15/20

     

    Dragon Ball Z: Cent mille guerriers de métal

     Nom Original: Dragon Ball Z: Gekitotsu!! Hyaku oku Power no senshitachi

    Réalisateur: Daisuke Nishio

    Année de sortie: 1992

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 45 minutes

     

    Les films Dragon Ball/ Dragon Ball Z

    Voici le second meilleur film DBZ, un pur classique. Cooler revient sous une forme métallique pour se déchaîner contre Goku et Végéta et le moins qu'on puisse dire, c'est que ça va péter. L'action est au rendez-vous de même que les combats grandioses et les coups de gueules de Végéta. Un vrai bon film que tout fan de DBZ ne peut qu'aimer.

    Note finale: 15/20

     

    Dragon Ball Z: L'offensive des cyborgs

     Nom Original: Dragon Ball Z: kyokugen battle!! San daichou saiyajin

    Réalisateur: Kazuhito Kikushi

    Année de sortie: 1992

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 45 minutes

    Les films Dragon Ball/ Dragon Ball Z

    Encore un autre bon film cette fois-ci signée Kikushi, un mec dont on a jamais entendu parler. Ici les cyborgs de Gero, C-13,C-14 et C-15 sont relâchés par l'ordinateur du vieux scientifique, leur objectif: tuer Goku. Ces derniers l'attaquent en pleine ville, heureusement Trunks et Végéta viennent au secours des civils et croisent la route des vilains robots. L'action est au rendez-vous et le schéma des scènes est encore le même que les films précédents, rien de nouveau. Mention spécial tout de même pour C-13 qui a vraiment la classe et qui mérite sa place de boss du film.

    Note finale: 14/20

     

    Dragon Ball Z: Broly le super guerrier

     Nom Original: Dragon Ball Z: Moetsukiro!! Nessen ressen chou gekisen

    Réalisateur: Shigeyasu Yamauchi

    Année de sortie: 1993

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 1h10

     

    Le meilleur film DBZ et ce sans conteste. Très intéressant, plein de bons combats et surtout contre un adversaire mythique ce film restera dans la mémoire des fans du manga. Broly est de plus le meilleur méchant de la franchise et un des meilleurs du shônen, un bon gros bourrin comme on les aime. Niveau scénario, un vaisseau arrive sur Terre, à son bord Paragus un Saiyan propose à Végéta de devenir leur nouveau roi et de vaincre le super guerrier légendaire. En chemin Végéta et ses amis découvriront que ce guerrier n'est autre que Broly, le fils timide de Paragus qui va perdre le contrôle de ses facultés mentales avec l'arrivée de Goku. Un film mythique.

    Note finale: 16/20

     

    Dragon Ball Z: Les mercenaires de l'espace

     Nom Original: Dragon Ball Z: Ginga girigiri!! Bucchigiri no sugoi yatsu

    Réalisateur: Yoshihiro Ueda

    Année de sortie: 1993

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Combat, Action, Science-fiction

    Durée: 45 minutes

     

    On enchaîne avec un autre bon film qui voit Gohan et les terriens affronter Bojack et ses mercenaires. Encore une fois rien de bien folichon mais pour un neuvième film basé sur les mêmes choses, ce n'est pas étonnant. Mais sinon bon divertissement, Bojack a la classe et les combats sont pas mauvais donc même si c'est très répétitif, les fans aimeront.

    Les films Dragon Ball/ Dragon Ball Z

    Note finale: 13/20

     

    Dragon Ball Z: Le retour de Broly( ou Rivaux dangereux)

     Nom Original: Dragon Ball Z: Kiken na futari!! Chou senshi wa nemurenai

    Réalisateur: Shigeyasu Yamauchi

    Année de sortie: 1994

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 52 minutes

     

    Bon comme le nom du film l'indique Broly revient et attaque la Terre. Gohan et ses amis doivent donc l'arrêter ce qui donne lieu à de nombreux combats moins bons que les autres films il faut l'avouer. Quand le film fini on est un peu déçu car Broly n'est pas correctement utilisé mais ça reste un divertissement tout à fait acceptable surtout pour les fans de DBZ.

    Note finale: 14/20

     

    Dragon Ball Z: Bio Broly

     Nom Original: Dragon Ball Z: Chou senshi gekiha!! Katsu no wa ore da

    Réalisateur: Yoshihiro Ueda

    Année de sortie: 1994

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Combat, Action, Science-fiction

    Durée: 45 minutes

     

    Après les bons films que j'ai cité plus haut on peut s'attendre à ce que ça continue, eh bien non c'est tout le contraire, tous ceux qui vont suivre se révèleront nettement moins drôles à commencer par Bio Broly qui est sans doute le pire d'entre eux. C-18, Hercule, Goten et Trunks participent à un tournoi bateau, mais pendant ce tournoi, un clone de Broly appelé Bio Broly fait son apparition et met le monde en danger. Les héros partent donc combattre l'abomination.... mais depuis quand on place le rôle principal sur Goten et Trunks ??? Ces deux là sont nuls en héros, C-18 apporte un peu de fraicheur mais les deux gamins rendent juste les choses insignifiantes, et puis les gags à outrance ça va mais pas longtemps. Et évidemment le boss, un simple tas de boue censé être un clone de Broly non mais faut se réveiller la TôEI c'est pas possible un truc comme ça. Vous l'aurez compris c'est un baclage total et donc un mauvais film.

    Note finale: 7/20

     

    Dragon Ball Z: Fusions

     Nom Original: Dragon Ball Z: Fukkatsu no Fusion!! Goku to Vegeta

    Réalisateur: Shigeyasu Yamauchi

    Année de sortie: 1995

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 50 minutes

     

    Comme je l'ai dis plus haut ce film, dans la droite lignée de Bio Broly se révèle moins bons que ceux incluant Bojack, Broly ou Cooler, cependant la belle bande-son et les magnifiques graphismes réhaussent un peu l'ensemble et font de ce film un film sympa mais pas indispensable. Ici une brêche s'ouvre en enfer et libère tous ses habitants qui se rabattent sur la Terre. De leur côté, Vegeta et Goku qui sont morts, affrontent le terrifiant Janemba bien décidé à les détruire. Certes ce n'est pas excellent mais ça fait plaisir de revoir Cell et Freezer ne serait-ce qu'un bref instant et de voir également tous les personnages participer. De plus Gogeta et Janemba ont vraiment la classe, c'est un vrai plaisir de les découvrir. On est donc pas subjugué, mais ça reste très sympa tout de même.

    Note finale: 13/20

     

    Dragon Ball Z: L'attaque du dragon

     Nom Original: Dragon Ball Z: Ryuuken bakuhatsu!! Goku ga yaraneba dare ga yaru

    Réalisateur: Mitsuo Hashimoto

    Année de sortie: 1995

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 50 minutes

     

    Là encore la qualité baisse, même si la musique et les graphismes rattrapent un peu le tout. Dans ce film Gohan, Videl et leurs amis aident un vieil homme à libérer Tapion, le guerrier légendaire d'une boîte à musique. Ce dernier refuse le contact avec ses sauveurs et les engueule. Peu après, une moitié de monstre attaque la ville, bientôt rejointe par sa partie supérieure. Il est temps pour les héros et pour Tapion d'affronter Hildegarde, le monstre invincible. Voilà en gros le scénar, plutôt mal mis en scène, avec des personnages minables et un côté répétitif qui cette fois-ci nous gave vraiment. Un échec à mes yeux bien que le tout, sur papier, m'ait bien plu.(à mort Tapion le perso le plus vide du monde!!!)

    Note finale: 10/20

     

    Dragon Ball Z: le père de Sangoku

     Nom Original: Dragon Ball Z: Tatta hitori no saishuu kessen - Freezer ni idonda Z senshi Son Goku no chichi

    Réalisateur: Mitsuo Ashimoto

    Année de sortie: 1990

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 40 minutes

     

    Voici un téléfilm DBZ très intéressant qui présente l'histoire de Bardock, le père de Goku ainsi que celle des Saiyans jusqu'à leur décimation par Freezer. Un scénario vraiment intéressant, un héros charismatique, bref on se croirait revenu dans l'anime. En plus de cela, on a une bande-son particulièrement bien réussie. Un excellent téléfilm qui rattrape les quelques daubes que la franchise compte.

    Note finale: 16/20

     

    Dragon Ball Z: L'histoire de Trunks

     Nom Original: Dragon Ball Z: Zetsubou e no hankou!! Nokosareta chou senshi- Gohan to Trunks

    Réalisateur: Yoshihiro Ueda

    Année de sortie: 1993

    Studio: Studio Bird, TôEI

    Genre: Action, Combat, Science-fiction

    Durée: 45 minutes

     

    Ce deuxième téléfilm présente aussi une part du passé, ou plutôt du futur puisqu'il présente la vie de Trunks du futur jusqu'à son départ pour rencontrer Goku. On y voit donc la survie du héros mais aussi de Gohan et de Bulma ainsi que leur combat contre C-17 et C-18. Une partie intéressante mais moins excitante que celle de Bardock, l'action y est moins présente et les combats sont peu nombreux. Ici c'est avant tout une présentation dramatique qu'on nous propose, hors de question d'éclater des centaines d'ennemis tout seul. Mais c'est un bon téléfilm tout de même, pas indispensable cela dit.

    Note finale: 13/20

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  • Voici l'article sur le dernier film Ghibli paru à ce jour.

    Si tu tends l'oreille

    Nom Original: Mimi o sumaseba

    Réalisateur: Yoshifumi Kondo

    Année de sortie: 1995

    Studio: Ghibli

    Genre: Romance, Amitié

    Durée: 1h51

    Si tu tends l'oreille

     

    Voici le seul et unique film du regretté Yoshifumi Kondo, celui qui était préssenti pour être le nouvel Hayao Miyazaki et qui nous a malheureusement quitté trois ans après la sortie du film à l'âge de 48 ans suite à une rupture d'anévrisme, et le moins qu'on puisse dire en le regardant c'est que Kondo n'était pas le successeur de Miyazaki pour rien. Le film est mon second film Ghibli préféré après Le Voyage de Chihiro et figure parmi mes 5 films d'animation préférés. Mais avant d'en parler plus en détail, le synopsis:

    Shizuku est une jeune collégienne un peu romanesque et passionnée de lecture. Un jour, elle remarque que tous les livres qu'elle a emprunté à la bibliothèque ont déjà été lus par un certain Seiji Amasawa. Intriguée, elle décide de découvrir l'identité de ce garçon. Rapidement elle va faire la connaissance d'un garçon insolent et un peu trop taquin avec qui elle va devenir amie malgré ses premières réticences. Ce garçon, qui est Amasawa, va vite lui faire part de son rêve de devenir luthier en lui présentant l'atelier de son grand-père dans lequel il travaille. Un peu désemparée, Shizuku va se rendre compte qu'elle n'a aucun projet d'avenir. Va alors commencer pour la collégienne un voyage dans ses rêves d'avenir où elle fera notamment la connaissance de Baron, la statue d'un chat qui prend vie ou encore Muta, un gros matou vorace et paresseux. Chacun de son côté, les deux adolescents vont trouver leur voie avant de se réunir.

    Si tu tends l'oreille

    Le scénario est vraiment vraiment excellent, je me répète mais c'est une magnifique histoire qui raconte tout simplement le passage de l'enfance à l'âge adulte d'une manière mémorable. Shizuku et Seiji sont des personnages très attachants auxquels on s'identifie facilement et les divers protagonistes de l'histoire ne servent qu'à mettre en relief l'importance des choix des deux héros rendant ainsi l'oeuvre efficace et réaliste. Le parcours de Shizuku est particulièrement intéressant et émouvant, encore une fois Ghibli montre qu'ils savent faire des héroïnes parfaites. Je ne vais pas plus m'arrêter sur l'histoire car ce serait réellement gacher un moment unique, je vous conseille donc de voir le film par vous même sur internet car oui voilà le seul défaut du film, tout comme Je peux entendre l'océan il n'existe pas en version française, vous pouvez le trouver en anglais ou en japonais uniquement. Pour la VOSTFR il faudra se contenter du fansub, le film est normalement disponible sur Dailymotion.

    Si tu tends l'oreille

    Ensuite au niveau technique on est encore une fois très haut puisque c'est Ghibli, les dessins sont excellents, les décors sont colorés et inoubliables, le chara-design est très soigné, l'animation se révèle d'une étonnante fluidité et surtout, surtout la bande-son est énorme. Le thème principal Country Roads chanté à la base par John Denver est excellent et s'emboite parfaitement dans le film qui commence plus ou moins grâce à lui. La version japonaise est également de très bonne facture et le passage du groupe improvisé où Shizuku chante est juste merveilleux. Donc vous ne serez pas déçu de ce chef-d'oeuvre qui mêle scénario de génie, persos d'enfer et bande-son incroyable. Un vrai bijou qui restera malheureusement la seule réalisation de Kondo.

    Si tu tends l'oreille

    Note finale: 20/20

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  • On enchaîne avec le dernier film de Mamoru Hosoda, après les excellents La Traversée du temps et Summer Wars voici Les enfants loups.

    Les enfants loups: Ame et Yuki

    Nom Original: Okami kodomo no Ame to Yuki

    Réalisateur: Mamoru Hosoda

    Année de sortie: 2012

    Studio: Studio Chizu

    Genre: Drame, Aventure, Fantastique

    Durée: 1h56

    Les enfants loups: Ame et Yuki

     

    Voilà un film que j'ai très longtemps attendu, les deux premiers films de Mamoru Hosoda étant incroyables, surtout Summer Wars qui reste le meilleur film d'animation à mes yeux(d'ailleurs vous trouverez les articles sur ce blog) je ne pouvais qu'être impatient. Et je ne suis pour le moins pas déçu du tout, le film est encore meilleur que ce que j'espérais. Commençons avec le synopsis:

    Hana est une jeune femme timide et sans histoire qui étudie en fac de philosophie. Un jour, elle fait la rencontre d'un jeune étudiant non inscrit, Ookami. Rapidement la jeune fille tombe amoureuse du distant étudiant qui finit tout de même pas céder et par tomber sous son charme. Cependant un soir, il lui révèle être un homme-loup, le dernier de son espèce au Japon et se transforme sous ses yeux. Loin d'être effrayée, Hana décide de fonder une famille avec Ookami. Peu de temps après, elle accouche d'une petite fille, Yuki puis un an après du petit Ame. Mais un soir, Ookami ne rentre pas à la maison et c'est en le cherchant en ville que Hana aperçoit une équipe sanitaire sortir un loup noyé de la rivière. Ookami mort, Hana doit tout faire pour préserver le secret de ses deux enfants tout en vivant sur les maigres économies laissées par son mari. Mais la vie d'une mère de famille seule et qui plus est, d'enfants loups va vite devenir un vrai calvaire pour la jeune femme. Afin de protéger ses enfants, Hana va déménager dans un petit village reclu pour mener une vie tranquille en toute discrétion. Entourés d'une végétation luxuriante, la turbulente Yuki et le timide Ame apprennent à apprivoiser leur double identité jusqu'au moment où ils devront choisir leur destin.

    Les enfants loups, Ame et Yuki

    Le scénario est réellement exceptionnel, très beau, très fort et très accrocheur on est très rapidement embarqué dans le périple de la jeune mère de famille, forte et courageuse, qu'on soutient de tout notre coeur. Les nombreuses aventures des deux enfants, les choix qu'ils devront faire et le parcours d'Hana sont tous des passages mémorables qui marqueront l'histoire de l'animation japonaise, des moments d'anthologies qui placent inexorablement Mamoru Hosoda dans la catégorie des grands réalisateurs aux côtés de Miyazaki, Takahata, Kon ou encore Shinkai. Les personnages quant à eux sont divins, Ookami bien que peu présent a la classe, Shohei est très convainquant, Ame est très attachant mais c'est surtout sur les deux personnages capitaux qu'on va s'emballer. Hana est vraiment LE personnage attachant parfait, belle jeune femme fragile en apparence mais très forte mentalement on ne peut qu'être séduit par sa combativité, son courage et son amour pour ses enfants. Toujours souriante peu importe les ennuis, elle nous donne à tous une leçon de vie qu'on est pas prêt d'oublier, je la classe sans problème dans mon top 5 des persos les mieux construits du monde de l'animation. Enfin, Yuki est presque aussi attachante que sa mère, sauvage mais en même temps réservée, forte avec les mots mais faible dans l'intimité elle est en plus très réaliste. Là où le parcourt d'Ame est répétitif(tout en s'inscrivant dans une certaine logique) celui de Yuki est réellement des plus captivants. On adore suivre l'histoire de la jeune fille, presque autant que celle de sa mère.

    Les enfants loups, Ame et Yuki

    Le film est donc touchant mais également drôle, les scènes comiques étant surtout générées par Yuki qu'on apprécie de plus en plus. Mais la dimention dramatique du film n'est surtout pas à écarter, la mort d'Ookami, les épreuves endurées par Hana mais aussi les chemins différents que prennent les protagonistes mènent à des scènes parfois déchirantes qui peuvent nous amener au bord des larmes, mais c'est heureusement vite rattrapé par l'humour et la bonne humeur. Et c'est là le plus gros point fort du film: la bonne humeur. On se sent bien tout au long du film, quoiqu'il se passe, Hana prend les choses avec le sourire et réussie même à rendre la situation moins dure tout en restant crédible. Honnêtement je ne m'étais pas senti aussi bien en regardant un film d'animation depuis longtemps.

    Les enfants loups, Ame et Yuki

    Sur le plan technique, la qualité graphique reste la même que pour les deux précédents films du réalisateur, c'est donc un style à part entière que je trouve très joli et vraiment bien animé. La bande-son est également très jolie, c'est même une vraie réussite musicale qui apporte au film une ambiance unique dont on ne se lasse pas. Vous l'aurez donc compris, ce film est une merveille et une vraie réussite qui lance Mamoru Hosoda dans la cour des grands, même si après avoir vu Summer Wars, on ne pouvait plus douter de lui. Courez acheter le DVD ou le Bluray car c'est un film qui le mérite vraiment, les studios d'animation ont besoin de fonds, alors quand vous aimez, faites un geste sinon, au vu des événements actuels, vous n'en aurez plus du tout.

    Pour conclure donc, Les enfants loups est une magnifique histoire qui a de quoi laisser sur le cul tous les spectateurs par son aura et sa qualité proche de la perfection.

    Les enfants loups, Ame et Yuki

    Note finale: 19/20

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