La suite maintenant!!!!!!!!!!

Nom Original: Captain Tsubasa: Road to 2002

Auteur: Youichi Takahashi

Années d'existence: 2001-2002

Catégorie: Shônen

Genre: Sport,Amitié

Studio: Group TAC

Durée: 52 épisodes de 22 minutes

Le succès mondialement reconnu d'Olive et Tom, ou Captain Tsubasa, a été tel qu'une suite se devait de voir le jour. Ici, nos héros sont désormais des adultes et jouent dans la cour des grands, dans les équipes mondiales les mieux classées. Mais au final, le but reste le même: devenir le meilleur.

Voilà en gros il n'y a aucune réelle évolution, les personnages ont changés entre les deux séries mais n'évoluent plus si tôt cet anime commencé, encore une fois dommage. Notons tout de même de magnifiques graphismes et une répétitivité nettement diminuée, ici c'est différent, ça change et on peut enfin regarder sans se lasser. Petit bémol, la bande-son est simplement pitoyable. A réserver aux fans de foot et d'Olive et Tom.

Note finale: 9/20

Qui ne connait pas ce manga ultra culte des années 80 ? Allez hop petit article.

Nom Original: Captain Tsubasa

Auteur: Youichi Takahashi

Années d'existence: 1983-1986

Catégorie: Shônen

Genre: Sport,Amitié

Studio: TôEI Animation, Group TAC

Durée: 128 épisodes de 22 minutes

Manga culte du foot depuis toujours Olive et Tom à laissé sa marque dans l'histoire. Adulé d'un côté, détesté de l'autre, il n'a laissé personne de côté et c'est au moins le mérite qu'on peut lui reconnaitre. Mon avis ? C'est défavorable, en même temps je peux pas blairer le foot et les femel....footballeurs pardon.

Niveau scénario, c'est pas compliqué, Olivier, petit génie du ballon rond va participer à de nombreux match dans lesquels il croisera des rivaux et amis impressionants tels Tom, Marc Landers, Ben Harper etc. etc.. En gros c'est pas compliqué, c'est du foot, Olivier va progresser dans les échelons du foot jusqu'à participer à la coupe du monde junior, ainsi on le voit parcourir le Japon puis le monde avec ses différentes équipes dans le but de devenir un grand footballeur. Beaucoup gueulent sur le scénar, moi j'le trouve bon, certes très simple mais c'est un shônen qui en plus raconte une histoire de foot, le fait de progresser dans les différents championnats en s'aidant de ses partenaires changeant c'est le SEUL scénario possible, donc c'est un point positif. Non ce qui m'énerve réellement c'est les personnages vides et creux(même dans Bleach ils sont mieux faits) et surtout la répétitivité, c'est trop souvent la même chose, certes les matchs sont éxagérés, mais on s'en fout c'est un manga, mais soixante fois la même chose c'est vraiment lourd.

Voilà, l'univers et la répétitivité sont les seuls points noirs de l'anime, mais quand ça passe pas, ça passe pas. Je n'aime donc pas cet anime, mais je n'en suis pas un détracteur pour autant, c'est assez sympa mais à dose ridiculement faible. On peut quand même noter une bonne animation, des dessins pas mal et une bande-son pour une fois pas trop à chier.

Note finale: 8/20

Vous vous souvenez de l'apothicaire mystérieux héros de la dernière partie d'Ayakashi: Japanese Classic Horror ? J'avais dit que le succès était tel qu'une série entièrement consacrée à ce personnage avait vue le jour, eh bien la voici.

Nom Original: Mononoke

Auteur: Kenji Nakamura(réalisateur)

Années d'existence:  2007

Catégorie: Seinen

Genre: Fantastique,Mythe, Horreur, Aventure

Studio: TôEI Animation

Durée: 12 épisodes de 22 minutes

C'est donc avec un vrai plaisir qu'on retrouve ce mystérieux apothicaire toujours aussi peu sociable dans de nouvelles aventures toujours aussi effrayantes. Sauver une femme enceinte en grand danger, lutter contre un démon surpuissant sur un bâteau, élucider le meurtre d'une journaliste ou vaincre un démon poisson sont autant de missions que devra accomplir notre vendeur d'herbes préféré. Niveau scénario, autant le dire ça pète vraiment, les histoires sont très bien racontées, très sombres et vraiment bien mises en scène on s'y accroche vraiment et les personnages sont encore plus dérangées que ceux d'Ayakashi, un must du psycopathe-characters.

Notre pote l'apothicaire devra toujours découvrir la Forme, la Vérité et la Raison des esprits en question ce qui nous amène dans un jeu de piste, d'enquête toujours bien préparé et sans aucun bémol encouragé par une ambiance inquiétante, mystique et terriblement efficace sur nos nerfs. Ajoutons à cela une bande-son parfaite, une gestion exceptionnelle du silence et des graphismes adaptés des estampes japonaises les plus impressionnantes et nous ne pourrons qu'accepter de vénérer cet anime. Petit défaut cependant, la dernière histoire souffre de trop de temps morts(aucun jeu de mots) ce qui peut agaçer les moins patients d'entre nous.

Note finale: 18/20

On enchaîne avec un second manga papier, l'excellent Nozoki Ana.

Nom Original: Nozoki Ana

Auteur: Wakou Honna

Années de parution: 2009-???

Catégorie: Seinen

Genre: Comédie,Drame,Ecchi,Pervers

Editeurs: Shogakukan,Kurokawa(en France)

Durée: ???(27 chapitres sur Anime-Story)

Ah! super manga que ce Nozoki Ana, malheureusement la série est désormais licenciée en France, donc on ne peut plus lire que les chapitres 19 à 27 en ligne. Et c'est bien dommage car je m'y suis attaché. Bon disons le clairement, Nozoki Ana est un manga érotique, pas loin d'être porno diront certains, mais c'est avant tout la plus bizarre des histoires d'amour qui y est racontée, la plus marrante également. Kido Tatsuhiko vient emménager à Tokyo pour démarrer sa nouvelle vie dans une école d'art. Dans sa nouvelle chambre, il découvre un trou dans le mur donnant sur la chambre voisine. Un soir, en jetant un énième coup d'oeil, il aperçoit une belle blonde s'exhiber devant lui et ramper au sol en s'approchant du trou. Les choses vont très vite dérapées et Kido va se retrouver embarqué dans une histoire de voyeurisme avec la belle mais folle Emiru qui va sans doute le conduire à l'amour. Avec leur bande de potes(dont la copine de Kido, une bombasse à gros seins) Emiru et Kido vont vivre des aventures inoubliables, sexy, et parfois carrément perverses. Kido va t-il réussir à échapper à Emiru, qui l'oblige à faire tout ça à cause d'une photo compromettante ? Qui est donc la mystérieuse Emiru ?

Voilà en gros le speech de départ. Pour ma part, j'adore, le manga est super marrant, coquin, parfois un peu space mais globalement excellent. Certes il n'est pas à mettre dans toutes les mains, personnellement je dirais 16 ans et plus, car beaucoup de scènes ecchi voire bien plus perverses sont présentes, de toutes manières autant le dire, l'histoire tourne autour du sexe et du voyeurisme. L'auteur est en tout cas ingénieux car malgré ce côté ecchi, la psychologie des personnages et l'envergure du scénario valent clairement un bon seinen bien mature, on s'amuse beaucoup mais on retient également beaucoup de messages et puis les scènes un peu olé-olé, c'est toujours sympa. En tout cas vous allez sans doute adorer ce manga, sauf si vous ne supportez pas le côté sexe très très présent, d'ailleurs pour les images je n'en n'ai trouvé aucune où on ne trouve pas Emiru nue ou un couple en pleine action, mais pour les autres amusez vous.

Note finale: 18/20

On enchaîne avec, pour la première fois, un manga papier.

Nom Original: Les Fleurs(Flowers)

Auteur: Yoko Nihonbashi

Années de parution: 2000

Catégorie: Seinen

Genre: Drame,Psychologie,Romance

Editeurs: East Press

Durée: One Shot de 24 pages

Les Fleurs est sans doute LE One Shot à lire(sur Anime Story par exemple): beau, bien écrit et plein de vérité on fait rarement mieux en 24 petites pages, c'est vraiment très touchant et je suis content d'avoir pu le lire.

Suzuki est un lycéen atteint d'une grave maladie, en effet sa peau se décompose ce qui le tue progressivement. Ce dernier décide donc en attendant un éventuel traitement de cultiver des fleurs dans une serre du lycée. Mlle Tokita, le médecin du lycée va aider Suzuki dans sa maladie, ce dernier lui apprendra son rêve: laisser quelque chose derrière lui.

C'est une très belle histoire que nous offre l'auteur, très courte certes mais très forte en émotions. Un chef-d'oeuvre du One Shot.

Note finale: 18/20